Les aventures de Bilbon Sacquet, paisible hobbit, qui sera entraîné, lui et une compagnie de Nains, par le magicien Gandalf, pour récupérer le trésor détenu par le dragon Smaug. Au cours de ce périple, il mettra la main sur l'anneau de pouvoir que possédait Gollum...
Introduction
Je crois que c’est le film que j’attendais avec le plus d’impatience en 2013. Un voyage inattendu avait été un tel coup de cœur que je voulais connaître la suite. Il ne se terminait pas tellement sur un cliffhanger mais continuer le voyage avec Bilbo et Thorin, c’est aussi pouvoir s’évader. Les images mais également les trailers qui circulaient sur Internet laissaient présager un second opus au-dessus du premier. Mes sœurs et mon père, l’ayant vu avant moi, n’arrêtaient pas d’en parler et ils le vendaient plutôt bien.
L'esthétique visuelle
En même temps, je ne suis jamais déçue par les films de Peter Jackson et notamment par ses adaptations de l’œuvre de Tolkien. Je sais que si je vais voir un de ses films, j’en ai pour mon argent car j’en prends plein les yeux, que ce soit avec les paysages, les costumes ou rien qu’avec les effets spéciaux. Je retrouve tout ce que j’ai pu adorer dans le premier film dans La désolation de Smaug et même plus encore. Il y a des scènes où je suis littéralement restée muette d’admiration devant les images qui défilaient sous mes yeux. J’attendais surtout de voir Smaug car, au final, le secret autour de ce personnage fut bien gardé. Nous avons pu voir de lui qu’un de ses yeux et la seule information qui avait filtré, c’était que Benedict Cumberbatch allait faire sa voix. Il est impressionnant et j’ai vraiment tremblé pour les personnages quand ils doivent enfin faire sa rencontre. Le royaume des Elfes est également sublime. Je ne dirai rien des paysages de la Nouvelle-Zélande car, comme toujours, c’est magnifique et incroyable de voir une telle diversité dans un même pays.
Il y a également beaucoup plus d’actions dans ce deuxième film. Dès le commencement, il n’y a aucun moment de répits. Les rebondissements s’enchaînent à un rythme effréné. Et là, nous trouvons de sacrées scènes qui sont magistralement orchestrées. Je pense notamment à celle où les nains s’enfuient du royaume des Elfes dans les tonneaux. Tout ce passage est simplement incroyable. Beaucoup de rythme, déjà, mais surtout c’est impressionnant. Les moyens mis en œuvre pour obtenir un tel résultat doivent être conséquents. Je crois que c’est véritablement la scène que j’ai préféré dans ce film. Elle intègre aussi quelques éléments d’humour donc, pour ma part, je l’ai trouvé parfaite.
Autre point qui visuellement en jette, la manière dont les Elfes se battent. Sur ce point, nous sommes clairement loin du Seigneur des Anneaux. Ils avaient déjà une manière de mener les combats qui, esthétiquement, était vraiment sympa. C’était fluide et on dirait presque de la danse. Dans La désolation de Smaug, on garde cette impression de danse mais pousser à l’extrême. C’est vraiment impressionnant et ce, d’autant plus qu’ils sautent de partout, utilisent les éléments du décor… J’en ai pris plein les yeux. De ce point de vue, j’ai vraiment hâte de voir la bataille des Cinq armées. Si les passages où Legolas et Tauriel se battent sont juste en avant goût, voilà qui promet d’être plus qu’épique.
L'histoire
Nous avons beaucoup avancé par rapport au roman et au premier film. A vrai dire, je ne m’attendais pas à ce que cette deuxième adaptation se finisse ainsi. Je pensais que Peter Jackson allait nous montrer la bataille des Cinq Armées qui se situe à la fin du livre. La désolation de Smaug se termine à un moment tellement crucial que j’ai failli crier de dépit à la fin de la séance de cinéma. En retour, j’ai eu le droit au regard blasé de ma petite sœur qui semblait dire « oui, je sais ». Elle l’avait déjà vu dont elle savait et avait anticipé ma réaction. C’est du cliffhanger de malade avec la petite phrase, « what have we done ? ».
Aussi non, le film dure presque trois heures mais je n’ai pas vu le temps passé. Il y a moins de longueurs que dans Un voyage inattendu. J’ai tout de suite été prise dedans, totalement happée presque hypnotisée par le film. C’est aussi pour ça que la fin a été si soudaine et inattendue. J’en voulais encore et toujours plus. Peter Jackson sait comment captiver son spectateur. C’est du pur divertissement et le fait qu’il s’éloigne du livre ne m’a absolument pas dérangé. Pourtant, j’ai adoré l’histoire telle qu’elle était écrite par Tolkien. Par exemple, la présence de Tauriel et sa petite histoire d’amour platonique avec Kili ne m’ont absolument pas dérangé. J’ai trouvé ça mignon et une présence féminine est appréciable, surtout quand elle sait se battre et ne se laisse pas faire.
Conclusion
J’ai adoré cette deuxième adaptation du Hobbit et c’est encore plus un coup de cœur que le premier opus. Je n’ai aucun reproche à formuler à son encontre. Pour ma part, tout était parfait. Je suis également très sensible à la musique de fin des films et j’avais adoré Song of the lonely mountain de Neil Finn. Le I see fire d’Ed Sheeran est juste parfait et elle a un super rendu au cinéma. Elle est vraiment puissante.
Introduction
Je crois que c’est le film que j’attendais avec le plus d’impatience en 2013. Un voyage inattendu avait été un tel coup de cœur que je voulais connaître la suite. Il ne se terminait pas tellement sur un cliffhanger mais continuer le voyage avec Bilbo et Thorin, c’est aussi pouvoir s’évader. Les images mais également les trailers qui circulaient sur Internet laissaient présager un second opus au-dessus du premier. Mes sœurs et mon père, l’ayant vu avant moi, n’arrêtaient pas d’en parler et ils le vendaient plutôt bien.
L'esthétique visuelle
En même temps, je ne suis jamais déçue par les films de Peter Jackson et notamment par ses adaptations de l’œuvre de Tolkien. Je sais que si je vais voir un de ses films, j’en ai pour mon argent car j’en prends plein les yeux, que ce soit avec les paysages, les costumes ou rien qu’avec les effets spéciaux. Je retrouve tout ce que j’ai pu adorer dans le premier film dans La désolation de Smaug et même plus encore. Il y a des scènes où je suis littéralement restée muette d’admiration devant les images qui défilaient sous mes yeux. J’attendais surtout de voir Smaug car, au final, le secret autour de ce personnage fut bien gardé. Nous avons pu voir de lui qu’un de ses yeux et la seule information qui avait filtré, c’était que Benedict Cumberbatch allait faire sa voix. Il est impressionnant et j’ai vraiment tremblé pour les personnages quand ils doivent enfin faire sa rencontre. Le royaume des Elfes est également sublime. Je ne dirai rien des paysages de la Nouvelle-Zélande car, comme toujours, c’est magnifique et incroyable de voir une telle diversité dans un même pays.
Il y a également beaucoup plus d’actions dans ce deuxième film. Dès le commencement, il n’y a aucun moment de répits. Les rebondissements s’enchaînent à un rythme effréné. Et là, nous trouvons de sacrées scènes qui sont magistralement orchestrées. Je pense notamment à celle où les nains s’enfuient du royaume des Elfes dans les tonneaux. Tout ce passage est simplement incroyable. Beaucoup de rythme, déjà, mais surtout c’est impressionnant. Les moyens mis en œuvre pour obtenir un tel résultat doivent être conséquents. Je crois que c’est véritablement la scène que j’ai préféré dans ce film. Elle intègre aussi quelques éléments d’humour donc, pour ma part, je l’ai trouvé parfaite.
Autre point qui visuellement en jette, la manière dont les Elfes se battent. Sur ce point, nous sommes clairement loin du Seigneur des Anneaux. Ils avaient déjà une manière de mener les combats qui, esthétiquement, était vraiment sympa. C’était fluide et on dirait presque de la danse. Dans La désolation de Smaug, on garde cette impression de danse mais pousser à l’extrême. C’est vraiment impressionnant et ce, d’autant plus qu’ils sautent de partout, utilisent les éléments du décor… J’en ai pris plein les yeux. De ce point de vue, j’ai vraiment hâte de voir la bataille des Cinq armées. Si les passages où Legolas et Tauriel se battent sont juste en avant goût, voilà qui promet d’être plus qu’épique.
L'histoire
Nous avons beaucoup avancé par rapport au roman et au premier film. A vrai dire, je ne m’attendais pas à ce que cette deuxième adaptation se finisse ainsi. Je pensais que Peter Jackson allait nous montrer la bataille des Cinq Armées qui se situe à la fin du livre. La désolation de Smaug se termine à un moment tellement crucial que j’ai failli crier de dépit à la fin de la séance de cinéma. En retour, j’ai eu le droit au regard blasé de ma petite sœur qui semblait dire « oui, je sais ». Elle l’avait déjà vu dont elle savait et avait anticipé ma réaction. C’est du cliffhanger de malade avec la petite phrase, « what have we done ? ».
Aussi non, le film dure presque trois heures mais je n’ai pas vu le temps passé. Il y a moins de longueurs que dans Un voyage inattendu. J’ai tout de suite été prise dedans, totalement happée presque hypnotisée par le film. C’est aussi pour ça que la fin a été si soudaine et inattendue. J’en voulais encore et toujours plus. Peter Jackson sait comment captiver son spectateur. C’est du pur divertissement et le fait qu’il s’éloigne du livre ne m’a absolument pas dérangé. Pourtant, j’ai adoré l’histoire telle qu’elle était écrite par Tolkien. Par exemple, la présence de Tauriel et sa petite histoire d’amour platonique avec Kili ne m’ont absolument pas dérangé. J’ai trouvé ça mignon et une présence féminine est appréciable, surtout quand elle sait se battre et ne se laisse pas faire.
Conclusion
J’ai adoré cette deuxième adaptation du Hobbit et c’est encore plus un coup de cœur que le premier opus. Je n’ai aucun reproche à formuler à son encontre. Pour ma part, tout était parfait. Je suis également très sensible à la musique de fin des films et j’avais adoré Song of the lonely mountain de Neil Finn. Le I see fire d’Ed Sheeran est juste parfait et elle a un super rendu au cinéma. Elle est vraiment puissante.