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Maléfique d'Elizabeth Sudnick

6/13/2014

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Maléfique est une jolie jeune femme au coeur pur qui vit dans une forêt magnifique. Un jour, une armée menace d'envahir le royaume. Maléfique n'a pas le choix. Pour préserver la paix, pour protéger son pays, elle en devient le plus farouche défenseur...

Mais elle est trahie. Et peu à peu, son coeur d'or se change en pierre... 

Ceci est l'histoire de la fée Maléfique. Mais pas l'histoire que vous
pensez connaître. Pas celle qui commence par un mauvais
sort et s'achève avec la mort d'un dragon. Non. Ceci est l'histoire, telle qu'elle s'est réellement déroulée. Il y sera bien question d'un mauvais
sort et d'un dragon, mais ce ne sera pas tout. Loin de là.
Car cette histoire parle avant tout d'amour envolé, d'amitiés forgées et enfin du pouvoir d'un baiser. 

Du film au livre

Depuis que ce film a été annoncé, je n’avais qu’une seule envie : le voir. Je remercie donc les éditions Hachette Romans Jeunesse pour ce nouveau partenariat que j’attendais avec impatience.

I know you, I walked with you once upon a dream

Maléfique fait partie des personnages emblématiques de l’univers Disney et La Belle au Bois dormant fait partie de mes dessins animés préférés de la firme. Ce roman m’attirait comme un aimant car il se plaçait justement du côté de la célèbre fée noire. De nombreuses choses changent par rapport à l’histoire que je connaissais.

Ces modifications par rapport à l’histoire « originale » ne m’ont absolument pas dérangé. En effet, une explication est donnée sur la raison pour laquelle Maléfique est devenue une fée noire. Cette dernière m’a totalement convaincu, même si, d’une certaine manière, elle reste classique des contes de mon enfance. Cependant, la suite l’est beaucoup moins.

Once upon a time I was dreaming we’d be together in love forever

En effet, depuis quelque temps, nous pouvons remarquer que Disney commence à s’éloigner du schéma classique de ses films et qui a fait le succès de ses dessins animés. Effectivement, depuis Rebelle, se faire sauver par un prince, pour une princesse, semble totalement dépassé, has been. Les princesses semble se débrouiller seules ou alors c’est plutôt l’amour d’une sœur ou d’un membre de la famille qui va les sauver (je pense notamment à La Reine des Neiges).

Dans Maléfique, j’ai été étonnée de voir qu’il n’y avait pas d’histoire d’amour. On se détache totalement du dessin animé de La Belle au Bois Dormant et la fin m’a vraiment enchantée. Ce changement radical était surprenant mais je suis loin d’être déçue. La morale de l’histoire m’a franchement plu. Attention, risque de spoiler. J’ai vraiment apprécié le fait que ce soit Maléfique qui réveille Aurore par un baiser d’amour sincère (tout en étant chaste, bien sûr. Il s’agit encore d’un Disney). Elle lui porte un amour presque maternel.

I was wishing for a never, a never ending

Maléfique fut une bonne surprise. Les changements apportés donnent une touche plus moderne à l’histoire. Je suis impatiente de voir le film et je pense qu’Angelina Jolie est vraiment taillée pour le rôle de Maléfique. Affaire à suivre !
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Au bois dormant de Christine Féret-Fleury

6/11/2014

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On l'appelle le Rouet. En référence au "rouet" sur la pointe duquel la Belle au Bois Dormant se pique le doigt dans le conte de Perrault. Car le Rouet est un tueur en série, un criminel qui traque ses victimes dès leur naissance, promettant à leurs parents qu'il leur dérobera la vie le jour de leur seizième anniversaire.

Ariane aura seize ans dans quelques mois. Elle décide de s'enfuir plutôt que d'attendre cette mort annoncée. En chemin, elle rencontre Lara, une jeune fille qui lui ressemble comme une soeur. Mais un terrible accident emporte Lara. Elle aurait eu ses seize ans quelques jours plus tard. Dans la précipitation des événements, on confond Ariane et Lara. Et si changer d'identité était la solution pour échapper au tueur ? Ariane décide de se faire passer pour la défunte et continue sa fuite. Mais le tueur est bien plus proche qu'elle ne le croit...

Je la regarde.
Vous ne me voyez pas, mais je suis là.
Jusqu'à l'âge de seize ans, elle grandira en beauté,
en force, en intelligence.
Je la protégerai de tout mal.
Le jour de son seizième anniversaire,
avant que le soleil ne bascule derrière l'horizon,
je m'approcherai.
Je vous repousserai dans les ténèbres.
Elle sera à moi.

Partenariat

Un grand merci aux éditions Hachette Romans Jeunesse pour ce nouvel envoi. J’adore les réécritures de contes et c’est la première fois que je lis une nouvelle écriture de La Belle au bois dormant, ayant plus l’habitude de Blanche-Neige ou du Petit Chaperon Rouge. Je connaissais déjà l’auteur pour avoir lu et adoré La trace.

Une réécriture intéressante

En commençant ce roman, je m’attendais à ce qu’il soit orienté vers un registre fantastique. Or, ce n’est pas du tout le cas. Christine Féret-Fleury nous livre ici un thriller plutôt brillant. En effet, j’ai véritablement apprécié le fait que l’auteur s’approprie totalement le conte de La Belle au bois dormant pour proposer une histoire très originale. Pour moi, ce roman est une grande réussite. Je n’arrive pas à lui trouver le moindre défaut.

Concernant l’utilisation du conte pour construire un thriller psychologique, l’auteur n’a réalisé aucun faux pas. Par exemple, le rouet n’est plus un simple objet causant la chute d’Aurore mais un tueur en série qui s’inspire du conte pour tuer des jeunes filles le jour de leurs seize ans mais également en ce qui concerne la mise en scène des meurtres. La première victime s’appelle Aurore. Retrouver ainsi des éléments du conte mais exploiter de manière résolument différente est très intéressant.

Du point de vue psychologique, l’auteur a, à mon avis, fait un travail incroyable de ce côté. En effet, même le lecteur peut ressentir toute la tension qui règne dans le livre, qui habite dans Ariane alors qu’elle va bientôt avoir seize ans. Nous savons qu’il va se passer quelque chose mais nous ignorons où et quand. Alors, nous sommes dans l’attente, tout comme pour le personnage principal, Ariane. Nous comprenons parfaitement ses réactions car l’auteur réussit à nous les faire ressentir également.

Impossible de le lâcher une fois commencé

J’ai dû le commencer vers vingt-trois heures pour tenter de m’endormir malgré la chaleur ambiante. A trois heures du matin, il était entièrement lu et j’en restais encore bouche bée. Il y a bien longtemps que je n’avais pas lu un roman d’une traite. Pourtant, dès les premières pages, j’ai été littéralement hypnotisée par l’intrigue. Il fallait absolument que je connaisse le mot de la fin, la raison des meurtres, le lien qui unit les différentes victimes entre elles...

Le tout est parfaitement maîtrisé. Il n’y a aucun moment de flottement, tout s’enchaîne à une allure folle. Christine Féret-Fleury donne les éléments de réponses au bon moment et le suspense est véritablement préservé tout au long du roman. En effet, la fin est vraiment surprenante et inattendue. Je ne m’attendais pas à une telle explication et j’avoue que j’ai été énormément étonnée et bouleversée par ce final. Elle a quelque chose de cruel, d’horrible et d’inhumain.

Pour finir

Au bois dormant fut une vraie surprise. Je ne m’attendais pas à être autant happée par l’histoire d’Ariane. C’est un coup de cœur que je n’attendais pas mais le roman est vraiment étonnant. A lire si l’occasion se présente.
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Le Silence de la mer de Vercors

6/10/2014

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Hiver 1940, la France est défaite. En province, dans une ancienne demeure, un vieil homme et sa nièce voient une partie de leur habitat réquisitionnée pour héberger un officier allemand. Lors des veillées, dans la grande cuisine, seule pièce chauffée, au coin de l'âtre, l'officier leur rend visite et essaie d'établir un contact. Enfermés dans leur mutisme, les deux hôtes écoutent sans mot dire. De longs monologues sur l'amour des peuples, la coopération, l'admiration de la culture française émanent de cet homme fin et cultivé, musicien de profession. Il croit à l'avenir d'une Europe unifiée où chacun respecte l'autre et y apporte son particularisme. Il croit en la pluralité des cultures et des idées. En face de lui, seul le silence lui répond.

Éteignons cette lumière, pour ensuite éteindre celle de la vie. 

Une relecture

Je l’avais lu une première fois au lycée et il m’avait vraiment marqué. Je l’ai relu cet été et, c’est toujours autant un livre plaisant et marquant à lire.

Un recueil de nouvelles

Il a été publié pour la première fois en 1942 et il comporte, au total, six nouvelles dans sa version actuelle, dont certaines ont été écrites que bien plus tard (de 1943 jusqu’à 1945). Il s’agit d’un recueil clairement engagé puisque l’auteur était un résistant. Différents thèmes sont évoqués et notamment la résistance, la déportation des Juifs. Comme bien souvent, dans de tels ouvrages, certains textes sont plus appréciés que d’autres.

Pour ma part, je retiens surtout la nouvelle éponyme, Le silence de la mer, mais également La marche de l’étoile et Ce jour-là. Ce sont vraiment les trois textes que j’apprécie le plus et dont je me souvenais le mieux également, même après quelques années. Les autres sont très bien mais ils ne me touchent pas de la même manière, ils me parlement moins.

Le silence de la mer a d’ailleurs fait l’objet de nombreuses adaptations, que ce soit pour le cinéma que pour la télévision. Pour ma part, c’est surtout l’adaptation de 2004 pour la télévision que j’ai vu avec, notamment, Michel Galabru. Il prend également en compte quelques éléments de la nouvelle Ce jour-là. Je recommande cette adaptation où les acteurs sont vraiment excellents.

Pour conclure

Ce recueil de nouvelle est désormais devenu un classique dont je conseille la lecture. C’est un livre à découvrir absolument. Pour ma part, c’est un coup de cœur.
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Trois (ou quatre) amies de Laurence Schaack et Françoise de Guibert

6/9/2014

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Hier, j'ai regardé les photomatons qu'on a faits, nous, les trois meilleures inséparables du monde entier. C'était l'été dernier, à Cherbourg, avant de repartir chacune chez nous. On avait l'air de tellement s'éclater comme des baudruches. Sol la lumineuse, Sand qui glisse entre les orteils comme le sable, et moi, Mar, la tortue qui torsade les mots et passe son temps à rêver. Pourtant, depuis quelque temps, sur notre réseau JustFriends, c'est l'ère glaciaire. On ne se comprend plus. Je ne sais même pas si on sera encore amies aux prochaines vacances. Je crois que c'est à cause d'Angela, une fille rencontrée au bistrot Les Parasols...

Je suis rentrée hier de Cherbourg. L'été est déjà fini.
C'est passé vite, site vite, trop vite, ces deux petits mois 
ensemble, trop bien, trop drôle, je les aime tellement,
mes inséparables, mes anges !

Amours et adolescence

La quatrième de couverture m’avait vraiment interpellé. C’est exactement le genre de romans que j’adore lire quand je suis en vacances. Malheureusement, je ressors plutôt déçue par cette lecture. Je n’ai pas été autant enthousiasmé que je l’espérais.

En effet, je m’attendais à ce que l’intrigue soit un peu plus prenante, palpitante. J’espérais un peu d’actions, de rebondissements. Cependant, je dois bien avouer que j’ai ressenti beaucoup d’ennui en lisant ce premier tome. En effet, la première chose est que je ne me suis pas du tout attachée à la narratrice, Marion dit Mar. Elle aune façon particulière de s’exprimer, en mélangeant les mots et les expressions. Cette petite bizarrerie ne m’a pas particulièrement charmé. Je n’ai pas trouvé que cela apporté réellement quelque chose au roman, une certaine originalité.

Deuxièmement, je me suis sentie à des années lumières des différents personnages du roman. Leurs centres d’intérêts, leurs préoccupations ne m’ont absolument pas parlé. Peut-être suis-je un peu trop vieille maintenant pour ce genre de romans ? Il est vrai qu’à l’heure actuelle, je me pose d’autres questions que celles que se posent les personnages principaux de Trois (ou quatre) amies. D’autres sujets me préoccupent que le collège, les premiers amours. C’est, je pense, la raison pour laquelle je suis totalement passée à côté de ce roman. Il fait tout de même très jeunesse. Il plaira sûrement plus à de jeunes adolescentes qu’à de jeunes adultes.

Cependant, j’avoue que j’ai beaucoup aimé le fait que l’histoire avance à travers différents « documents ». Il y a le journal intime de Marion, les discussions sur JustFriends et les mails qui sont échangés entre les différentes jeunes filles. Cela donne une certaine dynamique à ce premier tome.

Conclusion

Trois (ou quatre) amies fut une déception. Je ne lirai pas la suite des aventures de Mar(ion), Sol(veig) et Sand(ra). Je passe mon chemin avec regret.  

Chroniques des autres tomes :

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Harry Potter and the sorcerer's stone de J.K. Rowling

6/6/2014

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In Harry Potter and the Sorcerer's Stone, Harry, an orphan, lives with the Dursleys, his horrible aunt and uncle, and their abominable son, Dudley.

One day just before his eleventh birthday, an owl tries to deliver a mysterious letter—the first of a sequence of events that end in Harry meeting a giant man named Hagrid. Hagrid explains Harry's history to him: When he was a baby, the Dark wizard, Lord Voldemort, attacked and killed his parents in an attempt to kill Harry; but the only mark on Harry was a mysterious lightning-bolt scar on his forehead.

Mr and Mrs Dursley, of number four, were proud to say
that they were perfectly normal, thank you very much.

Une relecture

Je ne compte plus le nombre de fois que j’ai lu et relu cette série. C’est toujours avec autant de plaisir que je le fais. A chaque lecture, je redécouvre quelques petites choses, des détails qui m’avaient échappée.

Un univers magique

Dès la première phrase du roman, quelque chose se produit. Le lecteur sait qu’il va entrer dans un monde à part. La première fois que j’ai lu cette simple petite phrase, je ne me doutais pas une seule seconde que j’allais entrer dans un univers qui allait bercer toute mon adolescence. Comme bon nombre de personnes, Harry Potter est une série avec laquelle nous avons grandi. Depuis, je n’ai jamais ressenti autant d’excitation et d’impatience à la sortie d’un livre.

Ce premier tome fait partie de ceux que je préfère de toute la série. En effet, il constitue une introduction magistrale à la suite des événements. Il pose les bases d’un nouveau monde magique qui ne cessera de s’étoffer au fur et à mesure. Le lecteur retrouvera certains éléments dans les tomes suivants, se rendant compte que tout est finalement lié. Rien n’est laissé au hasard. Le premier chapitre est incroyable car l’auteur ne parle pas tout de suite des sorciers. Elle se base sur le monde des Moldus, tout en introduisant quelques bizarreries. Au final, le lecteur ne sait pas vraiment à quoi s’attendre.

Ce n’est que progressivement que J.K. Rowling nous amène à la découverte du monde des sorciers, de Poudlard. A vrai dire, elle nous fait découvrir tout cela en même temps que son personnage principal. Depuis, j’ai lu d’autres romans où l’auteur essayait d’introduire petit à petit l’univers qu’il veut développer mais, personnellement, je pense que personne ne l’a jamais aussi bien fait que Rowling.

Un talent de conteuse incontestable

Que ce soit pour construire un monde très riche, fouillé, avec beaucoup de détails, original et qui a su faire rêver des millions de lecteurs à travers le monde que pour raconter une simple histoire. Ce premier tome se dévore ou se savoure mais le plus de Mrs Rowling est incomparable. Lire ce livre en anglais est d’autant plus conseiller. En effet, par exemple, le géant Hagrid a une façon très particulière de parler qui n’est pas forcément très bien retranscrit en français.

Par ailleurs, ce premier tome est vraiment très prenant. Je me régale à chaque fois. Il y a une petite touche d’humour qui n’est pas déplaisante. J’ai adoré tout le côté magie, sorciers et sorcières… Beaucoup de mystères et de rebondissement qui me tiennent en haleine, même des années après et un certain nombre de relectures. Harry Potter à l’école des sorciers est une très grande réussite et je ne me lasse absolument pas de le lire et de le relire.

Conclusion

Est-il obligé que je précise qu’il s’agit d’un coup de cœur ? Je rêve de m’offrir le coffret avec les couvertures pour adultes de la version anglaise. Un jour peut-être…

Chroniques des autres tomes : Harry Potter and the Chamber of Secrets ; Harry Potter and the prisoner of Azkaban ; Harry Potter and the Goblet of Fire ; Harry Potter and the Order of the Phoenix ; Harry Potter and the Half-Blood Prince ; Harry Potter and the Deathly Hallows

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