One day just before his eleventh birthday, an owl tries to deliver a mysterious letter—the first of a sequence of events that end in Harry meeting a giant man named Hagrid. Hagrid explains Harry's history to him: When he was a baby, the Dark wizard, Lord Voldemort, attacked and killed his parents in an attempt to kill Harry; but the only mark on Harry was a mysterious lightning-bolt scar on his forehead.
Mr and Mrs Dursley, of number four, were proud to say
that they were perfectly normal, thank you very much.
Une relecture
Un univers magique
Ce premier tome fait partie de ceux que je préfère de toute la série. En effet, il constitue une introduction magistrale à la suite des événements. Il pose les bases d’un nouveau monde magique qui ne cessera de s’étoffer au fur et à mesure. Le lecteur retrouvera certains éléments dans les tomes suivants, se rendant compte que tout est finalement lié. Rien n’est laissé au hasard. Le premier chapitre est incroyable car l’auteur ne parle pas tout de suite des sorciers. Elle se base sur le monde des Moldus, tout en introduisant quelques bizarreries. Au final, le lecteur ne sait pas vraiment à quoi s’attendre.
Ce n’est que progressivement que J.K. Rowling nous amène à la découverte du monde des sorciers, de Poudlard. A vrai dire, elle nous fait découvrir tout cela en même temps que son personnage principal. Depuis, j’ai lu d’autres romans où l’auteur essayait d’introduire petit à petit l’univers qu’il veut développer mais, personnellement, je pense que personne ne l’a jamais aussi bien fait que Rowling.
Un talent de conteuse incontestable
Par ailleurs, ce premier tome est vraiment très prenant. Je me régale à chaque fois. Il y a une petite touche d’humour qui n’est pas déplaisante. J’ai adoré tout le côté magie, sorciers et sorcières… Beaucoup de mystères et de rebondissement qui me tiennent en haleine, même des années après et un certain nombre de relectures. Harry Potter à l’école des sorciers est une très grande réussite et je ne me lasse absolument pas de le lire et de le relire.