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Harry Potter and the sorcerer's stone de J.K. Rowling

6/6/2014

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In Harry Potter and the Sorcerer's Stone, Harry, an orphan, lives with the Dursleys, his horrible aunt and uncle, and their abominable son, Dudley.

One day just before his eleventh birthday, an owl tries to deliver a mysterious letter—the first of a sequence of events that end in Harry meeting a giant man named Hagrid. Hagrid explains Harry's history to him: When he was a baby, the Dark wizard, Lord Voldemort, attacked and killed his parents in an attempt to kill Harry; but the only mark on Harry was a mysterious lightning-bolt scar on his forehead.

Mr and Mrs Dursley, of number four, were proud to say
that they were perfectly normal, thank you very much.

Une relecture

Je ne compte plus le nombre de fois que j’ai lu et relu cette série. C’est toujours avec autant de plaisir que je le fais. A chaque lecture, je redécouvre quelques petites choses, des détails qui m’avaient échappée.

Un univers magique

Dès la première phrase du roman, quelque chose se produit. Le lecteur sait qu’il va entrer dans un monde à part. La première fois que j’ai lu cette simple petite phrase, je ne me doutais pas une seule seconde que j’allais entrer dans un univers qui allait bercer toute mon adolescence. Comme bon nombre de personnes, Harry Potter est une série avec laquelle nous avons grandi. Depuis, je n’ai jamais ressenti autant d’excitation et d’impatience à la sortie d’un livre.

Ce premier tome fait partie de ceux que je préfère de toute la série. En effet, il constitue une introduction magistrale à la suite des événements. Il pose les bases d’un nouveau monde magique qui ne cessera de s’étoffer au fur et à mesure. Le lecteur retrouvera certains éléments dans les tomes suivants, se rendant compte que tout est finalement lié. Rien n’est laissé au hasard. Le premier chapitre est incroyable car l’auteur ne parle pas tout de suite des sorciers. Elle se base sur le monde des Moldus, tout en introduisant quelques bizarreries. Au final, le lecteur ne sait pas vraiment à quoi s’attendre.

Ce n’est que progressivement que J.K. Rowling nous amène à la découverte du monde des sorciers, de Poudlard. A vrai dire, elle nous fait découvrir tout cela en même temps que son personnage principal. Depuis, j’ai lu d’autres romans où l’auteur essayait d’introduire petit à petit l’univers qu’il veut développer mais, personnellement, je pense que personne ne l’a jamais aussi bien fait que Rowling.

Un talent de conteuse incontestable

Que ce soit pour construire un monde très riche, fouillé, avec beaucoup de détails, original et qui a su faire rêver des millions de lecteurs à travers le monde que pour raconter une simple histoire. Ce premier tome se dévore ou se savoure mais le plus de Mrs Rowling est incomparable. Lire ce livre en anglais est d’autant plus conseiller. En effet, par exemple, le géant Hagrid a une façon très particulière de parler qui n’est pas forcément très bien retranscrit en français.

Par ailleurs, ce premier tome est vraiment très prenant. Je me régale à chaque fois. Il y a une petite touche d’humour qui n’est pas déplaisante. J’ai adoré tout le côté magie, sorciers et sorcières… Beaucoup de mystères et de rebondissement qui me tiennent en haleine, même des années après et un certain nombre de relectures. Harry Potter à l’école des sorciers est une très grande réussite et je ne me lasse absolument pas de le lire et de le relire.

Conclusion

Est-il obligé que je précise qu’il s’agit d’un coup de cœur ? Je rêve de m’offrir le coffret avec les couvertures pour adultes de la version anglaise. Un jour peut-être…

Chroniques des autres tomes : Harry Potter and the Chamber of Secrets ; Harry Potter and the prisoner of Azkaban ; Harry Potter and the Goblet of Fire ; Harry Potter and the Order of the Phoenix ; Harry Potter and the Half-Blood Prince ; Harry Potter and the Deathly Hallows

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Les sœurs Charbrey, Sans orgueil ni préjugé de Cassandra O'Donnell

5/30/2014

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Le mariage ? Morgana Charbrey ne veut pas en entendre parler ! Elle préfère son indépendance et les sciences, passion qu’elle dissimule derrière une prétendue maladie, loin des regards courroucés de la bonne société.

Lorsqu’elle apprend que le manuscrit de sa sœur a été refusé par un éditeur méprisant l’intellect féminin, Morgana décide d’aller confronter ce personnage cynique et détestable.

Si ce dernier pense pouvoir confondre la demoiselle à coups de reparties cinglantes et de sourires enjôleurs, il ne sait pas encore à qui il a affaire…

Elle a dix huit ans, mon oncle! Et puis devenir une débutante, porter de ravissantes toilettes et être courtisée par les jeunes gens bien élevés n'a rien d'un supplice, il me semble !

Romance historique

Me voilà embarquer dans une nouvelle lecture commune mais, cette fois-ci, avec Sapotille. Nous avons finalement réussi à trouver un roman qui se trouvait dans no deux bibliothèques. Le titre m’avait interpellé du fait de son connotation avec l’œuvre de Jane Austen.

Une lecture plaisante

Certes, ce premier tome ne casse pas trois pattes à un canard mais, parfois, je ne crache pas sur une lecture plus légère et détente. Et puis, pour tout avouer, j’ai vraiment passé un très bon moment en compagnie des sœurs Charbrey et notamment avec Morgana qui est le personnage central de ce premier tome. J’ai suivi avec plaisir ses premiers pas dans le monde, son histoire d’amour naissante avec Lord Greenwald…

L’histoire est vraiment prenante et amusante. Les petites joutes verbales entre les deux amoureux sont délicieuses à lire, tout comme les dialogues entre Morgana et sa tante Agatha. Toutes les deux sont des anticonformistes et leurs dialogues sont parfois à la limite de l’acceptable pour l’époque mais cela confère un certain charme au roman. Le style de l’auteur est certes simple mais il est rudement efficace. Il se laisse bien lire même si le lecteur se doute de la fin avant même d’avoir commencé le livre.

Des défauts à souligner

Ce premier tome de la série Les sœurs Charbrey n’est pas non plus totalement parfait. La première chose qui m’a dérangé est que l’auteur va très vite sur la naissance de l’idylle entre Morgana Charbrey et Macolm Greenwald. Le jeu du chat et de la souris n’a pas duré bien longtemps. La jeune femme a cédé bien vite, malgré sa volonté farouche de garder sa liberté et de ne jamais se marier. Dommage !

Ensuite, l’auteur n’a jamais vraiment réussi à se déterminer entre un style plutôt moderne et un autre qui se rapproche de celui de l’époque. Cela donne des passages étonnants qui mélangent les deux. En fait, même s’il s’agit d’un petit défaut, cela ne m’a pas réellement gêné. J’ai trouvé ce décalage plutôt amusant pour être tout à fait franche.

Pour terminer

Voilà une lecture rafraîchissante avec laquelle je me suis régalée malgré le fait qu’il ne s’agisse pas d’un coup de cœur. Je lirai la suite avec plaisir si l’occasion se présente.  

Chroniques des autres tomes :

Chroniques des autres participants : Sapotille

Les questions de Sapotille

Le titre n'est pas sans rappeler Orgueil et préjugés de Jane Austen. As-tu lu ce roman ? Y a-t-il un rapport ? 
J'ai bien entendu lu ce roman de Jane Austen dont je suis une grande admiratrice. Il est vrai que la littérature para-austenienne m'intéresse énormément mais je pense que les éditeurs utilisent de manière abusive des titres en lien avec l'oeuvre de Jane Austen. En effet, dans ce roman de Cassandra O'Donnell, je ne vois absolument pas le rapport qu'il peut exister entre les deux romans. Ils sont tellement différents, que ce soit concernant la forme autant que le fond. 

Ce livre est qualifié de romance historique. Qu'en penses-tu ?
Ce qualificatif lui va plutôt bien puisque nous sommes clairement et purement dans de la romance. 
Cependant, je suis un peu déçue par le côté historique du roman. En effet, l'auteur ne respecte absolument pas la réalité historique de cette époque. Elle se moque éperdument de l'étiquette et des difficultés, pour une femme, de vivre comme elle l'a choisi. Ici, tout semble presque trop facile. Je pense que, par exemple, très peu d'hommes de l'époque auraient accepté que son épouse poursuivre des recherches scientifiques. 

Qu'as-tu pensé du personnage masculin ?
Dans ce genre littéraire, les personnages masculins doivent être faits pour faire rêver la lectrice. Je ne dis pas qu'il doit être parfait mais presque. Dans ce premier tome, Lord Malcolm Greenwald m'a laissé totalement indifférente. Il n'a pas ce petit truc en plus qui m'a fait rêver. Pour moi, ce fut un personnage comme un autre. 

Que penses-tu du dévouement de Morgana envers ses sœurs ? 
Bien sûr, j'ai trouvé que c'était une attitude louable, responsable. Mais, par moment, j'ai trouvé ce dévouement un peu trop extrême dans la mesure où le personnage principal s'interdirait presque de vivre. 

Mes questions à Sapotille

Penses-tu qu'il y ait un abus de la part des éditeurs à choisir des titres en relation avec Jane Austen et ses ouvrages ? 
Je pense que c'est un choix de l'auteur en fait ! Mais bien sûr l'éditeur était d'accord visiblement.Je pense que c'est une stratégie pour attirer le lecteur fan de Jane Austen. Je n'ai personnellement pas lu ce livre à ma plus grande honte !

A ton avis, l'auteur ne va-t-elle pas un peu trop vite en besogne dans la manière de construire son histoire d'amour ?
Si, pour moi, ça manque de magie ... Morgana tient tête à Malcolm une demi-seconde. Cela me semble contraire au caractère de Morgana.Elle est légèrement trop rapide à mon goût !


Le personnage masculin t'a-t-il fait rêver ? 
Non, pour moi, la magie n'a pas opéré ! Dans ce style de livre, je m'attendais un peu à trouver un prince presque charmant ;-) Mais, ici on rencontre un coureur de jupons qui s'attaque à tout ce qui bouge !
 
Penses-tu que le roman respecte-t-il la réalité historique ? 
Pour ma part, quand on me dit roman historique, ça signifie inspiré de faits réels ... Je ne devais pas avoir une bonne définition du style ^^
Cependant, je pense que Morgana s'exprime de façon un peu trop "récente" pour un roman dit historique.
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Lady Julia, Le silence de Grey House de Deanna Raybourn

5/25/2014

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Londres, 1886. Après avoir reçu une lettre de menace, sir Edward Grey s'effondre et meurt en la présence de lady Julia, son épouse, et d'une assemblée de convives. Quelque temps plus tard, Nicholas Brisbane, un détective privé au charme animal, rend visite à lady Julia et lui laisse entendre que son mari aurait été assassiné. Déterminés à démasquer le coupable, tous deux s'engagent dans une quête de la vérité qui se révélera aussi déplaisante que dangereuse...

Dire que j’ai rencontré Nicholas Brisbane au-dessus du corps sans vie de mon époux n’est pas entièrement exact. Il convient de préciser qu’Edward était encore en train de convulser par terre.

Romance historique

Merci aux éditions Milady Romance pour cette nouvelle opportunité. Nous avons le droit à une très belle couverture et le résumé m’avait beaucoup plu. Ajouter une petite touche de policier pouvait être une bonne idée au lieu d’avoir purement et simplement de la romance.

Un livre qui m'a grandement étonné

En effet, Milady l’a classé parmi les romances historiques. Or, pour avoir lu une bonne grosse partie du roman, cet aspect est vraiment très secondaire. J’ai abandonné le livre à une centaine de pages quasiment de la fin et l’aspect romance était quasiment inexistant. Il passait très clairement au second plan. L’auteur se concentrait énormément voire uniquement sur l’aspect enquête policière. Ce premier tome de Lady Julia est bien plus un policier historique.

L'histoire

J’ai abandonné Le silence de Grey House peu de pages avant la fin. En effet, la raison fut que ce dernier était vraiment très lent. L’intrigue met déjà énormément de temps à se mettre en place. L’enquête policière sur le possible meurtre de Sir Edward ne démarre pas tout de suite. Nous devons d’abord passer (ou subir) par le récit du veuvage de Lady Julia.

En réalité, Deanna Raybourn inonde son lecteur de passages qui ne sont pas forcément très intéressants ou qui n’apportent pas quelque chose à l’intrigue. Au final, j’ai véritablement eu l’impression que l’histoire n’avançait pas, que l’on piétinait sur place. Il manque cruellement de révélations, de rebondissements pour relancer, parfois, l’intrigue, l’intérêt du lecteur. Le livre avait un rythme trop lent.

Par ailleurs, je n’ai pas terminé ce roman car, même si c’était parfois un peu long, l’auteur n’a pas su aussi piquer ma curiosité. Je me suis posé la question de savoir si je tenais vraiment à connaître le nom de l’assassin du mari de Lady Julia ou la cause de la maladie du détective qu’elle a engagé. La réponse était non. Il n’y a pas de réel suspense qui se met en place.

Cependant,  je me suis énormément attachée au personnage principal. Lady Julia est une femme intéressante, tiraillée entre le respect qui lui ordonne l’étiquette concernant son veuvage et l’envie de s’en libérer le plus vite possible. J’ai pensé que le contexte historique était très bien retranscrit.

Le mot de la fin

Ce n’était pas forcément ce à quoi je m’attendais en commençant ce roman mais j’ai vraiment été agréablement surprise. Il est vraiment dommage que le roman comporte autant de longueurs.

Chroniques des autres tomes :

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Doctor Who, La moisson du temps d'Alastair Reynolds

3/19/2014

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Après un emprisonnement qui a duré plusieurs milliards d'années, les terribles Silds ont réussi à s'échapper. Sur un monde en ruine aux confins du temps, ils s'apprêtent à réécrire l'Histoire. Mais pour cela, ils doivent soumettre à leur volonté une intelligence qui dépasse la leur...

Sur Terre, l'UNIT est appelée sur une plate-forme pétrolière afin d'enquêter sur un mystérieux incident. Mais à peine les recherches ont-elles débuté que le Brigadier commence à tout oublier du prisonnier le mieux gardé de l'UNIT... et cette amnésie ne frappe pas que lui.

Tandis que débute l'invasion silde, le Docteur doit faire face à un terrible dilemme : pour sauver l'univers, il doit porter secours à son ennemi juré, le Maître. 

Il passa la première, et ils commencèrent à sortir
de la masse de camions garés tout autour,
en direction de la route qui les conduirait chez eux.
C'était un sentiment fantastique.

Partenariat

Je tenais à dire un grand merci aux éditions Milady pour ce roman. J’adore la série Doctor Who mais celle de 2005. Je ne connais absolument pas les « classics ». J’ai d’autres romans inspirés de cette dernière dans ma liseuse que je m’étais offert lors d’une opération Bragelonne.

We're all stories in the end

Je ne connaissais pas ce Docteur et sa compagne de voyages, Jo Grant, les traits de caractères qui les caractérisaient. Je n’avais jamais entendu parler des terribles sildes qui envahissent la Terre, schéma classique voire récurrent dans la série phare de la BBC. Heureusement, je savais qui était le Maître, le grand ennemi du Docteur. Cependant, même en n’ayant jamais vu tous les premiers épisodes, j’ai tout de même énormément apprécié cette lecture.

En effet, La moisson du temps est aussi addictif qu’un épisode de la série télévisée et j’irai même plus loin en disant qu’il est construit de la même manière, selon le même schéma. Il y a toujours la petite scène d’ouverture mystérieuse et dont le lecteur (ou le spectateur) n’en connaîtra tous les aboutissements qu’en lisant le livre (ou en regardant l’épisode). L’auteur réunit ici tous les ingrédients pour happer le lecteur. Quelle est cette étrange machine qui semble faire plus de mal que de bien ? Quel sera son rôle dans la suite des évènements ? Malheureusement, nous ne le savons pas immédiatement. Et ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres.

Par ailleurs, le livre est plutôt agréable à lire. Il contient une bonne dose de mystères et de suspense pour me tenir en haleine du début à la fin. Néanmoins, petit bémol, il y quelques phrases qui sont tournées de manière assez bizarre. Parfois, cela m’a un peu gêné.

Cependant, là où j’ai également été légèrement déçue, c’est que je m’attendais à ce qu’il y ait bien plus d’humour présent dans ce roman, comme dans la série télévisée qui dégage tout de même un charme purement anglais. Après, je me suis tout de même posé la question si, dans la première série, il y avait également cet aspect humoristique ou du moins autant que dans celle de 2005. Il manquait, parfois et à mon avis, la petite réplique qui fait tout, cette petite touche d’humour typiquement anglaise.

Conclusion

Doctor Who, La moisson du temps fut une lecture plaisante mais qui ne fut pas sans défaut pour autant. C’est avec plaisir que je me suis replongée dans cet univers en attendant la diffusion de la huitième saison. Maintenant, il faut que je pense à lire ce que je possède.

Chroniques des autres tomes : Apollo 23 ; La nuit des humains ; L'armée oubliée ; L'horloge nucléaire ; La chasse au mirage ; Le dragon du roi ; A travers bois ; La lune du chasseur ; Les morts de l'hiver ; Temps d'emprunt ; Les voleurs de rêves ; Shada, L'aventure perdue de Douglas Adams

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Un chant de Noël de Charles Dickens 

12/14/2013

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Le soir de Noël, un vieil homme égoïste et solitaire choisir de passer la soirée seul. Mais les esprits de Noël en ont décidé autrement. L'entraînant tour à tour dans son passé, son présent et son futur, les trois spectres lui montrent ce que sera son avenir s'il persiste à ignorer que le bonheur existe, même dans le quotidien le plus ordinaire.

Par une heureuse, juste et noble compensation des choses d'ici-bas, si la maladie et le chagrin sont contagieux, il n'y a rien qui le soit plus plus irrésistiblement aussi que le rire et la bonne humeur. 

Mon conte de Noël

S’il y a une histoire que j’aime inlassablement relire à cette époque de l’année, c’est bien celle que Charles Dickens a écrit et qui, aujourd’hui, a tellement influencé la littérature et le cinéma. On retrouve son idée de départ un peu partout, toujours réinventée avec plus ou moins de succès. Je l’adore et c’est toujours un énorme coup de cœur !

Une histoire de fantômes pour Noël

Un chant de Noël ou Cantique de Noël, selon les éditeurs, est une histoire intemporelle qui ne cesse de m’émerveiller alors même que, chaque année ou presque, je la relis. Il faut dire que ce qui est, elle touche toutes les générations. Les petites s’émerveilleront de l’aspect fantastique avec la présence des trois fantômes, les grands de la morale, de la possibilité offerte à Ebenezer Scrooge de pouvoir changer son futur en prenant conscience des conséquences de ses agissements actuelles. Pour ma part, c’est surtout ce dernier aspect qui me parle énormément. Qui n’a jamais rêvé de pouvoir connaître son futur et d’avoir encore la chance de le changer ? Toute cette dialectique est raconté de manière magistrale et avec énormément de talent, de la part de Charles Dickens. A chaque fois, je suis totalement transportée par cette histoire et j’ai l’impression de la redécouvrir à chaque nouvelle lecture.

Pour autant qu’il s’agisse d’un classique de la littérature victorienne, ce conte est vraiment accessible à tous. La plume de Charles Dickens est vraiment très belle. Fluide et agréable, elle nous rend mélancolique quand il le faut, nous fait frissonner dans l’attente de l’apparition du fantôme… Même avec la présence de ces derniers, l’ambiance, l’esprit de Noël est très bien retranscrit.

Ebenezer Scrooge

Par ailleurs, Ebenezer Scrooge est un de mes personnages littéraires favoris. Malgré le fait qu’il peut être détestable, jamais content, avare à l’extrême, odieux même, je le trouve touchant et attachant. Je ne peux pas m’en empêcher. J’aime que l’auteur nous donne quelques explications sur les raisons qui ont poussé ce personnage à devenir l’homme qu’il est, au fur et à mesure, en voyageant entre son passé et son présent. 

J’aime également la morale que l’auteur nous propose à travers ce personnage qui semble avoir tous les torts du monde. Tout le monde peut changer, devenir meilleur et il suffit de pas grand-chose ! C’est plein de bons sentiments mais n’est-ce pas souvent le cas pendant la période de Noël. Tout semble plus beau, plus merveilleux ! Malgré tout, ça fonctionne encore à merveille !

Conclusion

Enorme coup de cœur pour cette histoire intemporelle que j’aime redécouvrir tous les ans à cette période de l’année. Pour 2013, ce fut en français que j’ai relu le texte alors que l’année dernière, ce fut en anglais. J’aime aussi feuilleter les albums ou voir les diverses adaptations : celle d’un vieux Disney, celle en image de synthèses qui est sorti il n’y a pas si longtemps. Je recommande cette lecture, à tout âge.
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