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Hunger Games, L'embrasement

04/10/2014

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Réalisateur : Francis Lawrence
Date de sortie française : 27 novembre 2013
Durée : 2 heures 26 minutes
Avec : Jennifer Lawrence, Josh Hutcherson, Woody Harrelson, Sam Claflin, Elizabeth Banks, Liam Hemsworth, Philip Seymour Hoffman, Donald Sutherland...

Après les premiers Hunger Games, Katniss est devenue le symbole de la rébellion. Le peuple de Panem est impatient de la retrouver pour la grande Tournée de la victoire. Mais Katniss va devoir prouver au Capitole et au Président Snow que ses sentiments envers Peeta étaient sincères afin de sauver ceux qu’elle aime…


Je l'ai enfin vu. Il faut dire que ma petite sœur m'y poussait car elle l'avait vu et adoré. Le premier opus avait été sympathique  mais pas non plus exceptionnel. J'avais passé un bon moment mais quelques petites choses faisaient que cette adaptation n'était pas une réussite totale, à mon avis. Qu'en est-il de cette deuxième adaptation ?

La première chose qui m'a un peu choqué, c'est qu'il ressemble énormément au premier film. Deux trois petites choses changent, heureusement, mais c'est presque imperceptible. Le parallélisme entre les deux est trop prononcé, à mon avis, surtout dans la deuxième partie. Il y a les mêmes longueurs. Tant que les personnages ne sont pas dans l'arène, c'est presque ennuyeux. Rares sont les passages que j'ai apprécié : quelques uns qui montraient que la rébellion était en marche, les différentes robes de Katniss qui sont toujours impressionnantes, l'enlèvement d'une certaine personne, proche de l'héroïne... 

Une fois qu'ils sont dans l'arène, les choses sérieuses commencent enfin et c'est à partir de ce moment que j'ai commencé à être réellement dans le film. C'est toujours très stressant et prenant. Des alliances se forment et le nouveau maître du jeu est presque encore plus pervers que Seneca Crane. C'est encore moins gentillet que dans le premier Hunger Games. 


Cependant, ce qui m'a le plus étonnée, au final, dans cette adaptation, c'est la fin. Alors là, si je m'attendais à de tels bouleversements, de telles révélations... Absolument pas. J'étais même loin de m'en douter. Je savais que la révolution était en marche mais de là à voir déjà un tel final... Je suis vraiment très agréablement étonnée et cela relance un peu mon envie de continuer à lire les livres, que j'avais un peu abandonné. 

De nouveaux personnages font leur apparition et j'ai tout de suite succomber aux charmes de Finnick. Jessica m'a également énormément plu. C'est surtout son caractère et son comportement qui fait qu'elle sort du lot. En revanche, j'ai toujours autant de mal avec les deux personnages masculins principaux : Peeta et Gale. Vraiment aucun des deux n'arrivent à faire battre mon coeur de midinette. 

Hunger Games, L'embrasement est définitivement plus réussi que le premier même s'il y a encore quelques petits défauts. La fin m'a vraiment donné le courage et l'envie nécessaire de finir de lire la série et d'aller voir le troisième opus au cinéma.

Chroniques des autres films : Hunger Games ; La révolte, Partie 1 ; La révolte, Partie 2

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After Earth 

02/04/2014

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Réalisateur : M. Night Shyamalan
Date de sortie française : 5 juin 2013
Durée : 1 heure 40 minutes
Avec : Will Smith, Jaden Smith, Zoë Kravitz... 

1 000 ans après un cataclysme forçant les humains à quitter la Terre, Nova Prime est devenue la nouvelle planète occupée par notre espèce. Le général Cypher Raige, de retour d'une longue mission, retrouve sa famille (et son rôle de père auprès de Kitai, son fils de treize ans). Lorsqu'une tempête d'astéroïdes endommage le vaisseau de Cypher et Kitai, ils s'écrasent sur la Terre, devenue très dangereuse. Alors que son père est à l'agonie, Kitai va devoir entreprendre seul un voyage en terrain hostile pour retrouver leur balise de détresse. Kitai a toujours voulu être un soldat comme son père. Aujourd'hui, il en a l'opportunité...


Je désirais voir ce film au cinéma lors de sa sortie mais les aléas de la vie font que je n’ai pas eu le temps de le voir. Finalement, je ne regrette pas de ne pas l’avoir vu au cinéma car je suis quand même déçue. En effet, je n’ai pas été totalement convaincu.

En effet, je me suis tout de même bien ennuyée pendant ma petite séance. Je pouvais largement faire quelque chose à côté, sans pour autant perdre le fil de l’intrigue. Il faut dire que l’histoire avance lentement et c’est très redondant. Le fil de Will Smith court, se plaint, rencontre des difficultés, court, se plaint, rencontre d’autres difficultés… A tel point que, si vous en ratez une, vous pouvez toujours suivre le film. Cette redondance donne vraiment un aspect ennuyeux au film. C’est toujours la même chose et, au final, After Earth est sans surprise, du début à la fin.

Est-ce qu’il reste tout de même un bon spectacle ? Visuellement, il n’y a rien à redire. C’est plutôt bien fait. Il y a des très jolis plans. Malheureusement, je n’ai pas été convaincue par le « grand monstre » du film. Je l’ai trouvé plutôt ridicule. Normalement, il est censé inspirer de la peur. Or, ce ne fut jamais le cas. Pendant que les deux personnages principaux sont sur Terre, un de ces monstres qui persécutent les humains se retrouve avec eux et il est, normalement, censé guetté les moindres faits et gestes du fils. Or, je n’ai jamais ressenti cette tension. C’est dommage car cela aurait pu rendre le film légèrement plus intéressant.

Du point de vue des acteurs, les Smith nous livrent une prestation plutôt moyenne. Jaden Smith manque parfois un peu de justesse dans son jeu d’acteur. J’ai eu du mal à y croire à certains passages mais il a tout de même du potentiel et il faut qu’il travaille encore. Will Smith est plutôt bon en père froid et distant mais il m’a aussi énervé. Cependant, j’ai apprécié sa façon de montrer ses sentiments à travers ses yeux.

J’ai l’impression d’avoir légèrement perdu mon temps. Heureusement que je faisais d’autres choses à côté comme mes fiches de révision, ce fut à peine un bon divertissement. Je n’ai pas du tout été convaincue et ce n’est pas le film qui restera dans les annales.

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The Hobbit, An unexpected journey

11/23/2013

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Dans Un voyage inattendu, Bilbon Sacquet cherche à reprendre le Royaume perdu des Nains d’Erebor, conquis par le redoutable dragon Smaug. Alors qu’il croise par hasard la route du magicien Gandalf le Gris, Bilbon rejoint une bande de 13 nains dont le chef n’est autre que le légendaire guerrier Thorin Écu-de-Chêne. Leur périple les conduit au cœur du Pays Sauvage, où ils devront affronter des Gobelins, des Orques, des Ouargues meurtriers, des Araignées géantes, des Métamorphes et des Sorciers…

Bien qu’ils se destinent à mettre le cap sur l’Est et les terres désertiques du Mont Solitaire, ils doivent d’abord échapper aux tunnels des Gobelins, où Bilbon rencontre la créature qui changera à jamais le cours de sa vie : Gollum.

C’est là qu’avec Gollum, sur les rives d’un lac souterrain, le modeste Bilbon Sacquet non seulement se surprend à faire preuve d’un courage et d’une intelligence inattendus, mais parvient à mettre la main sur le "précieux" anneau de Gollum qui recèle des pouvoirs cachés… Ce simple anneau d’or est lié au sort de la Terre du Milieu, sans que Bilbon s’en doute encore…


Je suis allée voir à la première nationale, The Hobbit de Peter Jackson avec Martin Freeman dans le rôle titre. La salle était pleine à craquer et l'ambiance était bonne enfant. Le cinéma avait même prévu une deuxième salle pour pouvoir accueillir tout le monde. Je l'attendais fébrilement, avec encore plus d'impatience que Noël et, ça y est, je l'ai enfin vu !


La 3D
Je vais voir énormément de films pendant l’année. Si je peux éviter la 3D dans la mesure du possible, je le fais car j’en ai vraiment horreur. J’ai, bien entendu, vu quelques films utilisant ce procédé, sans vraiment y trouver un apport exceptionnel. Pour The Hobbit, je n’avais pas le choix. Il n’était proposé qu’en 3D.

Pourtant, au final, je ne regrette absolument pas de l’avoir vu ainsi car l’image était superbe. J’ai vite oublié que le film était en 3D, pour la simple et bonne raison que j’en ai pris plein les yeux. Les images étaient véritablement de qualité et les effets spéciaux bluffants. Mes deux scènes préférées sont celles où on nous présente Erebor, la cité des Nains, et Fondcombe. J’en suis restée sans voix. La 3D rend très bien. Cela donne également l’occasion de redécouvrir et d’admirer les paysages de la Nouvelle-Zélande.

The Hobbit fait donc partie des rares films qu’il faut absolument voir en 3D. Elle apporte vraiment quelque chose au spectacle. De plus, encore une fois, Peter Jackson montre qu’il est un grand réalisateur qui maîtrise à la perfection les images et les effets spéciaux. Il nous livre un film grandiose.


La musique
Le Seigneur des Anneaux était aussi un des films dont la musique a également marqué les esprits. Elle a été composée par Howard Shore qui est, à nouveau, aux commandes. Dès la bande-annonce, la bande-son promettait d’être tout aussi magnifique. J’attendais aussi avec impatience le moment où les Nains vont chanter Misty mountains dans le film. J’adore cette chanson car la manière dont elle est chantée correspondait exactement à l’idée que je me faisais de l’univers des Nains. Le thème principal est tout aussi excellent et je le préfère même à celui du Seigneur des Anneaux. 

Depuis Mercredi, je n’arrête pas d’écouter en boucle l’album de la bande-sonore du film et je peux dire qu’elle est vraiment très bien. On retrouve certains thèmes de la première trilogie et notamment au début du film.


Un film qui se veut dans la continuité
En effet, le début du film se passe dans la période du Seigneur des Anneaux. Bilbo écrit son livre pour Frodon et prépare sa fête d’anniversaire. Cela m’a à la fois étonné mais charmé car, finalement, transition entre les deux se fait tout en douceur, tout en inscrivant The Hobbit dans un cycle. Et puis, quel plaisir de retrouver le vieux Bilbo et Frodon, même pour quelques minutes.

Les premiers moments du film, outre le fait qu’ils soient absolument magiques, sont également très intéressantes. Quelques libertés ont été prises par rapport au livre. En effet, il y a toute l’histoire de la chute d’Erebor. Cette ouverture est juste parfaite. De nombreuses autres libertés ont été prises mais je suis loin de m’en être offusqué. J’ai été ravie par ces dernières car elles apportent des éléments en plus à l’histoire. C’est le cas, par exemple, de la réunion du Conseil blanc suite à la découverte du nécromancier.

Malgré quelques petites choses en plus, Peter Jackson est tout de même très respectueux de l’oeuvre de Tolkien. L’adaptation est très fidèle. Certains dialogues sont les mêmes que ceux du livre. Par ailleurs, la voix-off de Bilbo, au début, cite aussi des passages du livre, faisant ainsi un très beau clin d’oeil.


Les acteurs
J’étais véritablement curieuse de voir la prestation de Martin Freeman que j’ai déjà pu voir dans Sherlock, dans le rôle du docteur Watson et dans Petits meurtres à l’anglaise. Pour son rôle de Bilbo, il a juste la tête de l’emploi. Après, il est vraiment excellent dans ce rôle. Parfait ! Il a aussi un gros potentiel comique qu’il partage avec certains Nains.

En effet, j’ai été surprise de voir que le film est plutôt très drôle. Il y a quelques répliques qui sont vraiment pas mal. Par exemple, je peux citer le moment où le Hobbit demande à Gandalf s’il est toujours en activité ou… Kili et Fili qui sont les deux Nains qui m’ont aussi fait le plus rire. Ce sont aussi les plus jeunes. Gros coup de coeur pour ces deux-là mais également pour Thorïn. Un sacré personnage que je trouve très bien interprété.


Conclusion
Je crois que j’ai fait le tour de tout ce que je voulais dire. En attendant, j’espère vous avoir donné envie d’aller le voir. Pour ma part, je ne peux que vous le conseillez. Il était à la hauteur de mes attentes, si ce n’est plus. Il est magnifique, vous en prenez plein les yeux. Malgré le fait qu’il soit long, vous ne verrez pas le temps passer. La fin ne finit pas sur un cliffhanger énorme, adoucissant ainsi l’attente jusqu’au deuxième opus qui doit sortir en Novembre 2013.

Chroniques des autres films : The desolation of Smaug

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Star Trek, Into Darkness

11/23/2013

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Alors qu'il rentre à sa base, l'équipage de l'Enterprise doit faire face à des forces terroristes implacables au sein même de son organisation. L'ennemi a fait exploser la flotte et tout ce qu'elle représentait, plongeant le monde dans le chaos...

Dans un monde en guerre, le Capitaine Kirk, animé par la vengeance, se lance dans une véritable chasse à l'homme, pour neutraliser celui qui représente à lui seul une arme de destruction massive.

Nos héros entrent dans un jeu d'échecs mortel. L'amour sera menacé, des amitiés seront brisées et des sacrifices devront être faits dans la seule famille qu'il reste à Kirk : son équipe.

Je ne suis pas forcément  voire pas du tout une fan de la saga, en temps normal. J’avais vu le premier épisode mais il ne m’avait pas spécialement convaincu. A part Chris Pine qui a retenu mon attention mais juste par qu’il n’est pas désagréable à regarder, je ne me souviens pas de grand chose de ce film. Star Trek, Into darkness avait un argument de taille pour me faire me déplacer : Benedict Cumberbatch, l’acteur anglais vu dans Sherlock.

J’adore cet acteur depuis quelques années et, comme à son habitude, il crève littéralement l’écran. Il possède un charisme absolument incroyable. Dans ce film, c’est véritablement lui que je retiens. Rien que pour le voir en méchant, ce film en vaut la peine. Spock est également un personnage intéressant. Son comportement froid et distant, son sérieux à tout épreuve en font quelqu’un de comique, même à son insu, et surtout quand on le met en parallèle avec le capitaine Kirk. Il y a des scènes qui sont tout particulièrement amusantes entre lui, Spock et Uhura.

Finalement, c’est un film qui est très divertissant mais également bourré d’actions. Du début à la fin, on ne s’ennuie pas une seule seconde. Les effets spéciaux sont très bien faits et la 3D est vraiment excellente. Je n’ai aucun reproche à formuler et quelques scènes sont bluffantes. C’est le cas, par exemple, quand Chris Pine et Benedict Cumberbatch se propulsent hors d’un vaisseau spatial jusqu’à un autre, en plein espace. Impressionnant.

J’ai passé un très bon moment, en définitif. Quelques scènes ou révélations sont prévisibles mais, en aucun cas, cela ne m’a absolument pas dérangé pendant ma séance. J’ai été vite prise dans l’action, l’intrigue…

Chroniques des autres films : Star Trek

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Insaisissables

11/23/2013

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"Les Quatre Cavaliers", un groupe de brillants magiciens et illusionnistes, viennent de donner deux spectacles de magie époustouflants : le premier en braquant une banque sur un autre continent, le deuxième en transférant la fortune d'un banquier véreux sur les comptes en banque du public. Deux agents spéciaux du FBI et d'Interpol sont déterminés à les arrêter avant qu'ils ne mettent à exécution leur promesse de réaliser des braquages encore plus audacieux. Ils font appel à Thaddeus, spécialiste reconnu pour expliquer les tours de magie les plus sophistiqués. Alors que la pression s'intensifie, et que le monde entier attend le spectaculaire tour final des Cavaliers, la course contre la montre commence.

Parfois, certains films me tentent juste par leur casting. Insaisissables est de ceux-là. Morgan Freeman, Michael Caine, Jesse Eisenberg… Voilà qui était prometteur ! L’histoire semblait être un bon divertissement et, quelques fois, il ne m’en faut pas plus pour que je me déplace dans mon cinéma préféré. Je suis absolument conquise par ce film !

J’aime beaucoup les films avec de la magie, des voleurs au grand coeur comme dans Ocean’s Eleven, par exemple. Insaisissables est un excellent mélange de ces deux thèmes que j’affectionne tout particulièrement. J’en ai pris plein les yeux. Les illusions et les tours de magie sont incroyables et époustouflants. Pour certaines scènes, j’étais comme une gamine, avec des étoiles plein les yeux. Sans hésiter, mon préféré est celui lors du spectacle donné à la Nouvelle Orléans, notamment avec les bulles. Il est juste waow ! Par ailleurs, cela ne m’a absolument pas dérangé que certains procédés des "Four Horsemen" soient révélés. La magie est toujours présente et elle n’en perd pas toute sa saveur, bien au contraire. Le film fait toujours rêver. Parfois, je me demandais si ce n’était pas véritablement de la magie. Les effets spéciaux sont extrêmement bien faits. On y croit vraiment.

Concernant l’histoire, même si elle reste des plus classiques, elle a tout de même réussi à me passionner du début à la fin. Il faut dire qu’Insaisissables est un film rythmé. Je ne me suis jamais ennuyée. Il y a toujours des rebondissements. Malheureusement, une scène est particulièrement mal tournée, celle de la course-poursuite dans les rues de la Nouvelle Orléans. Les images tremblaient terriblement et c’est vraiment dommage. En revanche, gros coup de coeur pour la scène entre Mark Ruffalo et Dave Franco vers la fin. Cette dernière m’a énormément plu.

Néanmoins, il n’y a pas que ce trop plein d’actions que j’ai apprécié. Il y a aussi des petits détails par-ci par-là qui font que ce livre est un coup de coeur. Par exemple, j’ai adoré les petites touches d’humour qui sont présentes par moment. C’est notamment le cas lors des scènes entre Daniel Atlas (Jesse Eisenberg) et Henley Reeves (Isla Fisher). Ils ont une dynamique intéressante, même si elle est, malheureusement, sous développée tout au long du film. Il y a tout de même une petite scène toute mignonne à la fin, lorsqu’ils se tiennent la main avant de plonger vers le grand inconnu. Cette petite histoire d’amour ne prend pas beaucoup de place dans l’intrigue générale.

Du côté des acteurs, Michael Caine et Morgan Freeman sont toujours égaux à eux-mêmes. Je suis plus étonnée par Isla Fisher que je connais surtout pour son rôle dans Confessions d’une accro du shopping. Elle m’a étonné et convaincu dans Insaisissables, me prouvant qu’elle peut aussi jouer sur un ton un peu plus sérieux. Deuxième fois que je vois Dave Franco. La première fois fut dans Warm Bodies. Autant j’ai énormément de mal avec son grand frère, autant lui ne me dérange absolument pas. Je pense que c’est un acteur à suivre durant ces prochaines années.

Concernant le cas Jesse Eisenberg, c’est bien la première que je le trouve beau physiquement. Il fait, pour une fois, un peu plus adulte et virile que d’habitude. Moins prosaïquement, à chaque film que je vois avec lui, il m’étonne. Que ce soit dans The Social Network, dans Zombieland… J’ai l’impression de voir jouer un autre acteur. Il est vraiment incroyable et j’ai de plus en plus envie de le découvrir d’autres de ces films.

Insaisissables est véritablement mon film coup de coeur de cet été. J’ai passé un très bon moment. Tellement que j’espère voir un deuxième opus, ce qui est très rare. C’est un très bon divertissement.

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