Le shérif Rick Grimes se réveille à l'hôpital après un long coma. Il découvre avec effarement que le monde, ravagé par une épidémie, est envahi par les morts-vivants. Parti sur les traces de sa femme et de son fils, Rick arrive à Atlanta où, avec un groupe de rescapés, il va devoir apprendre à survivre et à tuer.
Voilà une série que je m’étais promis de regarder un de ces jours mais en repoussant toujours l’échéance. Ma petite sœur a craqué avant moi et m’a menacé de la regarder car j’allais être tout aussi accro qu’elle, en enchaînant toutes les saisons en quelques jours. Pourtant, elle a horreur des zombies. Elle a eu entièrement raison. J’ai regardé les trois saisons à la suite.
Cependant, quand j’ai commencé la première saison, ce n’était pourtant pas gagné. Elle ne fait que six épisodes et c’est véritablement qu’à partir du quatrième ou du cinquième que j’ai commencé à accrocher avec The Walking Dead. Certes, l’ouverture est sympathique avec quelques scènes cultes comme l’entrée de Rick Grimes dans Atlanta sur un cheval ou, par exemple, celle dans le char qui marque la fin du premier épisode. A vrai dire, dès que le personnage de Daryl a fait sa première apparition, j’ai un peu plus apprécié la série. C’est un personnage que j’ai tout de suite apprécié, malgré ses accès de violence. J’ai trouvé que c’est un des personnages les plus intéressants de la série. Et je pense que la suite m’a donné raison !
Cette première saison réserve bien des surprises. Les producteurs n’hésitent pas à sacrifier de nombreux personnages auxquels le spectateur s’attache plus ou moins, au fil des épisodes. Il y aussi pas mal de zombies, d’attaques. Quelques scènes sont franchement horribles (comme dans le premier épisode où Rick et une partie du groupe étripent un zombie pour pouvoir se couvrir de ses intestins). Mais, au-delà de ça, on ne peut que saluer le travail incroyable des maquilleurs et des personnes réalisant les effets spéciaux. C’est extrêmement bien fait et les morts-vivants donnent vraiment la chair de poule. Cette saison est vraiment placée sous le signe de l’action. Le spectateur ne s’ennuie pas et, dès que j’ai commencé à véritablement accroché à cette série, impossible de m’en détacher.
On voit petit à petit les différents personnages, en s’attachant plus ou moins à eux. Dès cette première saison, j’ai pu classer les personnages en deux catégories : ceux que j’avais vraiment envie de voir survivre (Daryl, Andrea, Glenn, Dale et Amy, pour les principaux) et ceux qui me laissaient totalement indifférente (Lori, Shane, Carl). Rick ne m’a pas spécialement dérangé. Il se fait rapidement sa place au sein du groupe en tant que leader (peut-être même trop ?!). J’aurai vraiment aimé savoir comment le groupe s’est constitué.
The Walking Dead commence fort et la fin donne vraiment envie de connaître immédiatement la suite des événements et notamment ce que le docteur Jenner a chuchoté à Rick. La deuxième saison semble d’ores et déjà prometteuse.
Voilà une série que je m’étais promis de regarder un de ces jours mais en repoussant toujours l’échéance. Ma petite sœur a craqué avant moi et m’a menacé de la regarder car j’allais être tout aussi accro qu’elle, en enchaînant toutes les saisons en quelques jours. Pourtant, elle a horreur des zombies. Elle a eu entièrement raison. J’ai regardé les trois saisons à la suite.
Cependant, quand j’ai commencé la première saison, ce n’était pourtant pas gagné. Elle ne fait que six épisodes et c’est véritablement qu’à partir du quatrième ou du cinquième que j’ai commencé à accrocher avec The Walking Dead. Certes, l’ouverture est sympathique avec quelques scènes cultes comme l’entrée de Rick Grimes dans Atlanta sur un cheval ou, par exemple, celle dans le char qui marque la fin du premier épisode. A vrai dire, dès que le personnage de Daryl a fait sa première apparition, j’ai un peu plus apprécié la série. C’est un personnage que j’ai tout de suite apprécié, malgré ses accès de violence. J’ai trouvé que c’est un des personnages les plus intéressants de la série. Et je pense que la suite m’a donné raison !
Cette première saison réserve bien des surprises. Les producteurs n’hésitent pas à sacrifier de nombreux personnages auxquels le spectateur s’attache plus ou moins, au fil des épisodes. Il y aussi pas mal de zombies, d’attaques. Quelques scènes sont franchement horribles (comme dans le premier épisode où Rick et une partie du groupe étripent un zombie pour pouvoir se couvrir de ses intestins). Mais, au-delà de ça, on ne peut que saluer le travail incroyable des maquilleurs et des personnes réalisant les effets spéciaux. C’est extrêmement bien fait et les morts-vivants donnent vraiment la chair de poule. Cette saison est vraiment placée sous le signe de l’action. Le spectateur ne s’ennuie pas et, dès que j’ai commencé à véritablement accroché à cette série, impossible de m’en détacher.
On voit petit à petit les différents personnages, en s’attachant plus ou moins à eux. Dès cette première saison, j’ai pu classer les personnages en deux catégories : ceux que j’avais vraiment envie de voir survivre (Daryl, Andrea, Glenn, Dale et Amy, pour les principaux) et ceux qui me laissaient totalement indifférente (Lori, Shane, Carl). Rick ne m’a pas spécialement dérangé. Il se fait rapidement sa place au sein du groupe en tant que leader (peut-être même trop ?!). J’aurai vraiment aimé savoir comment le groupe s’est constitué.
The Walking Dead commence fort et la fin donne vraiment envie de connaître immédiatement la suite des événements et notamment ce que le docteur Jenner a chuchoté à Rick. La deuxième saison semble d’ores et déjà prometteuse.