Une semaine plutôt bien remplie puisque trois nouveaux livres sont venus augmenter ma pile à lire. Heureusement, ne s'agissant que de service presse, ils n'y resteront pas très longtemps. J'en ai déjà lu un, d'ailleurs et je l'ai vraiment apprécié.
Liste : Au creux les oubliés de Francine Kahn ; N'éteignez pas la lumière de Nestor Bidadanure ; La légion de la colombe noire de Kami Garcia
Liste : Au creux les oubliés de Francine Kahn ; N'éteignez pas la lumière de Nestor Bidadanure ; La légion de la colombe noire de Kami Garcia
"D'abord le groupe d'immeubles disposés autour d'une cour rectangulaire, en terre battue, avec, au milieu, bien alignés, quelques platanes. La construction typique des HLM de cette époque qui a donné son comptant "d'habitat à bon marché
Cette cour, avec ses immeubles de quatre étages et une population bien française, ouvrière, en majorité communiste... Quelques italiens et Espagnols, çà et là, et eux les seuls juifs du quatrième étage, ses parents qui parlaient un français appris, exil oblige, dans la terreur de l'occupation.
Son père achetait L'Humanité Dimanche pour être en bons termes avec les voisins. Il avait le sens aigu des rapports de forces et œuvrait ainsi pour la conquête d'une tranquillité achetée à moindre prix. Chez lui, à l'abri, il lisait Jüdische Rundschau, Panorama Juif et la Tribune de Genève."
Au creux les oubliés, receuil de fragments sur des parcours : un homme, une femme, juif-allemands, quittent leur bourg du sur de l'Allemagne à la fin des années 30, chassés par la montée du nazisme. Traqués, ils connaîtront l'exil en France, puis les camps... Plus tard, leurs enfants naissent en France et, dans les années 70, ils émigrent en Israël, pour revenir de nouveau en France.
Exil aussi, par rapport à leur langue d'origine, l'allemand. Quelle langue habitent-ils ? L'allemand, le français, l'hébreu, le yiddish ? "Des oubliés" d'une histoire singulière de gens ordinaires qui rejoint la grande Histoire de la Seconde Guerre Mondiale, sa cohorte d'exilés et de famille éclatées.
Cette cour, avec ses immeubles de quatre étages et une population bien française, ouvrière, en majorité communiste... Quelques italiens et Espagnols, çà et là, et eux les seuls juifs du quatrième étage, ses parents qui parlaient un français appris, exil oblige, dans la terreur de l'occupation.
Son père achetait L'Humanité Dimanche pour être en bons termes avec les voisins. Il avait le sens aigu des rapports de forces et œuvrait ainsi pour la conquête d'une tranquillité achetée à moindre prix. Chez lui, à l'abri, il lisait Jüdische Rundschau, Panorama Juif et la Tribune de Genève."
Au creux les oubliés, receuil de fragments sur des parcours : un homme, une femme, juif-allemands, quittent leur bourg du sur de l'Allemagne à la fin des années 30, chassés par la montée du nazisme. Traqués, ils connaîtront l'exil en France, puis les camps... Plus tard, leurs enfants naissent en France et, dans les années 70, ils émigrent en Israël, pour revenir de nouveau en France.
Exil aussi, par rapport à leur langue d'origine, l'allemand. Quelle langue habitent-ils ? L'allemand, le français, l'hébreu, le yiddish ? "Des oubliés" d'une histoire singulière de gens ordinaires qui rejoint la grande Histoire de la Seconde Guerre Mondiale, sa cohorte d'exilés et de famille éclatées.
N'éteignez pas la lumière est un livre de réflexion sur la pensée de Nelson Mandela. Il analyse les conditions d'émergence de sa personnalité politique ainsi que son héritage pour les combats futurs. La lumière symbolise la culture au sens humaniste et progressiste du terme. Elle jaillit de l'éducation traditionnelle, de la philosophie africaine d'Ubuntu, de la volonté d'apprendre ainsi que des conclusions que le héros de la lutte contre l'apartheid tire de chaque combat politique mené.
Mandela est convaincu que chaque être humain peut s'améliorer et qu'une certaine éducation élève l'homme, le rend plus libre. Pour survivre aux difficiles conditions d'emprisonnement, Mandela et ses compagnons mettent en place une stratégie de résistance résolue. Ni la terreur, ni les conditions carcérales infrahumaines conçues pour briser le moral des prisonniers n'arriveront à atteindre la détermination de vaincre des combattants de la liberté.
Mandela est convaincu que chaque être humain peut s'améliorer et qu'une certaine éducation élève l'homme, le rend plus libre. Pour survivre aux difficiles conditions d'emprisonnement, Mandela et ses compagnons mettent en place une stratégie de résistance résolue. Ni la terreur, ni les conditions carcérales infrahumaines conçues pour briser le moral des prisonniers n'arriveront à atteindre la détermination de vaincre des combattants de la liberté.
A la mort de sa mère, le monde de Kennedy vole en éclats. Elle ne se doute pas encore que ce drame est lié à des forces surnaturelles. Kennedy va ainsi apprendre que si elle veut rester en vie, elle doit prendre la place de sa mère au sein de la Légion de la Colombe noire, une société secrète de chasseurs de fantômes dont les cinq membres ont été assassinés la même nuit, et don les enfants sont simultanément devenus les héritiers. A son tour, Kennedy va devoir entrer dans la bataille, même si elle n'en connaît pas encore les règles.