Cette série relate les aventures du Docteur, un extraterrestre, un Seigneur du Temps (Time Lord) originaire de la planète Gallifrey. Dans la première série (1963), il voyage à bord d'un TARDIS (Time And Relative Dimension(s) In Space, ou Temps A Relativité Dimensionnelle Inter Spatiale en français), une machine pouvant voyager dans l'espace et dans le temps. Particulièrement attaché à la Terre, il est régulièrement accompagné dans ses voyages par des compagnons, pour la plupart humains. Le TARDIS a l'apparence d'une cabine de police (construction typiquement britannique ressemblant à une cabine téléphonique), le système de camouflage étant resté bloqué. Comme tous les Seigneurs du Temps, le Docteur a le pouvoir de se régénérer, ce qui explique sa capacité à changer de corps lorsqu'il est proche de la mort. Dans la seconde série, le Docteur (2005) est le dernier survivant de sa race, anéantie par la grande guerre du temps contre les Daleks, les pires ennemis du Docteur.
Hello, I'm the Doctor. Basically... Run.
J'ai commencé cette cinquième saison avec beaucoup d'appréhension. En effet, j'adorais le dixième docteur que David Tennant jouait. Je ne voulais pas le voir partir et j'avoue que je voyais l'arrivée de Matt Smith d'un mauvais œil ! Et pourtant...
Big and little at the same time. Brand new and ancient and the bluest blue ever.
Comment ne pas l'adorer ? Les premières minutes du tout premier épisode de la saison sont juste à mourir de rire. La régénération puis les toutes premières paroles de Matt Smith me l'ont tout de suite rendu très sympathique. Il est drôle mais surtout très dynamique. Il ne tient pas en place une seule seconde. Dans The eleventh hour (Le prisonnier zéro), nous faisons également la connaissance de la nouvelle compagne du Docteur. Dur de passer après Donna qui était celle que je préférais. Si Amy, dans cette saison du moins, ne l'a pas totalement remplacée, elle est cependant en bonne voie.
Amelia Pond. That was a great name. Bit fairy tale.
En tout cas, ce premier épisode m'a totalement convaincu de continuer la série. Il y avait tous les éléments réunis pour que j'adhère : de l'humour, de l'action, des répliques déjà cultes ("Raggedy man! I remember you and you are late for my wedding" ; "We're all stories in the end." ; "What if you were really old and that kind and lonely? Your whole race dead. What couldn't do then? If you were that old and that kind and the very last of your kind you couldn't just stand there and watch children cry!").
Au final, à de très rares épisodes près (Victory of the Daleks, en fait), ce fut tout de même une très bonne saison avec d'excellents épisodes. J'ai adoré le retour des Wheeping Angels qui sont, sans hésiter, mes "vilains" de Doctor Who préférés. C'est vraiment ceux qui me font le plus peur (il faut dire que l'épisode Blink est un des meilleurs toutes saisons confondues). Néanmoins, si je ne devais garder qu'un seul épisode pour cette cinquième saison, c'est celui avec Vincent Van Gogh (Vincent and the Doctor). C'est un très bel épisode et la présence de Bill Nighy ne gâche rien.
Au final, à de très rares épisodes près (Victory of the Daleks, en fait), ce fut tout de même une très bonne saison avec d'excellents épisodes. J'ai adoré le retour des Wheeping Angels qui sont, sans hésiter, mes "vilains" de Doctor Who préférés. C'est vraiment ceux qui me font le plus peur (il faut dire que l'épisode Blink est un des meilleurs toutes saisons confondues). Néanmoins, si je ne devais garder qu'un seul épisode pour cette cinquième saison, c'est celui avec Vincent Van Gogh (Vincent and the Doctor). C'est un très bel épisode et la présence de Bill Nighy ne gâche rien.
I am definitively a mad man with a box.
Pour ma part, je suis définitivement et irrémédiablement accro à cette série. Je suis également totalement conquise par ce nouveau Docteur et je continue la série avec plaisir.