Le célèbre psychiatre, Hannibal Lecter, développe une relation particulière avec l'un de ses patients, un jeun profiler du FBI, Will Graham. Ce dernier, très instable, est troublé par une fascination dévorante pour les tueurs en série, pour qui il éprouve une trop grande empathie, ce qui est à la fois un atout dans son métier et un mal terrible. Lecter cache lui aussi bien des secrets.
Je suis une très grande fan des films et, quand j’ai su qu’une série était sortie sur la relation entre Will Graham et Hannibal Lecteur, je ne pouvais que la voir. Cependant, j’y allais un peu à reculons car il était difficile de me faire oublier l’incroyable interprétation d’Anthony Hopkins. Je partais donc avec un petit a priori.
Néanmoins, Mads Mikkelsen a su, progressivement et au fil des épisodes, me faire oublier l’interprète initial en faisant en Hannibal Lecter digne de ce nom. Il a réussi à la fois à me repousser, à me séduire et me fasciner. Toujours élégant et rempli de bonnes manières, l’acteur arrive à tout faire passer par le regard. Sa prestation est incroyable et parfaite durant toute la saison. Il dégage un tel charisme, il est hypnotisant. Le spectateur voit même des facettes du personnage qu’il ne soupçonnait pas. C’est le cas, par exemple, avec la relation qu’il entretient avec Abigail. Elle est presque comme une fille adoptive pour lui.
Concernant le personnage de Will Graham, il est campé par Hugh Dancy, plus habitué aux comédies romantiques. Si, au départ, je l’ai apprécié et trouvé sa prestation plutôt convaincante, ce ne fut plus du tout le cas à partir de la moitié, environ, de la saison. En effet, au fur et à mesure, j’ai trouvé qu’il surjouait beaucoup trop. Son jeun n’était plus du tout convaincant et il m’énervait à force. Sur le dernier épisode, ça pouvait aller mais je ne le compte pas spécialement parmi mes personnages préférés.
En revanche, j’ai beaucoup aimé Abigail et Alanna qui m’a brisé le cœur dans le dernier épisode. La première est un personnage intéressant et ce, dès le début. Dès le premier épisode, je me suis beaucoup attachée à elle et j’attendais avec impatience chacune de ses apparitions. J’avoue ne pas avoir été spécialement étonnée par la révélation qui a été faite sur elle dans les derniers épisodes. Elle n’a fait que confirmer mes soupçons.
Esthétiquement, il n’y a rien à redire. C’est terriblement beau, visuellement, notamment en ce qui concernent les plats préparés par Hannibal. Que dire des scènes de crimes ! Leur esthétisme est incroyable, à la fois terrifiante et fascinante. Il y a des épisodes qui sont vraiment durs à voir.
Parfois, certains sont un peu plus ennuyeux que d’autres ou, au final, on ne comprend pas toujours les agissements et les comportements de certains personnages. J’ai plutôt été déçue par le dernier épisode de la saison. Les trois derniers étaient vraiment très bons et le trailer de ce dernier épisode semblait très prometteur mais, au final, il est juste très frustrant et en dessous de ce que j’espérais.
Je suis tout de même curieuse de voir ce que donnera la deuxième saison puisque la nouvelle est tombée il y a quelque temps qu’Hannibal était renouvelé. Cette première saison vaut véritablement le détour car elle sort du lot. Quelques petites choses m’ont dérangé mais, globalement, c’est que du positif.
Je suis une très grande fan des films et, quand j’ai su qu’une série était sortie sur la relation entre Will Graham et Hannibal Lecteur, je ne pouvais que la voir. Cependant, j’y allais un peu à reculons car il était difficile de me faire oublier l’incroyable interprétation d’Anthony Hopkins. Je partais donc avec un petit a priori.
Néanmoins, Mads Mikkelsen a su, progressivement et au fil des épisodes, me faire oublier l’interprète initial en faisant en Hannibal Lecter digne de ce nom. Il a réussi à la fois à me repousser, à me séduire et me fasciner. Toujours élégant et rempli de bonnes manières, l’acteur arrive à tout faire passer par le regard. Sa prestation est incroyable et parfaite durant toute la saison. Il dégage un tel charisme, il est hypnotisant. Le spectateur voit même des facettes du personnage qu’il ne soupçonnait pas. C’est le cas, par exemple, avec la relation qu’il entretient avec Abigail. Elle est presque comme une fille adoptive pour lui.
Concernant le personnage de Will Graham, il est campé par Hugh Dancy, plus habitué aux comédies romantiques. Si, au départ, je l’ai apprécié et trouvé sa prestation plutôt convaincante, ce ne fut plus du tout le cas à partir de la moitié, environ, de la saison. En effet, au fur et à mesure, j’ai trouvé qu’il surjouait beaucoup trop. Son jeun n’était plus du tout convaincant et il m’énervait à force. Sur le dernier épisode, ça pouvait aller mais je ne le compte pas spécialement parmi mes personnages préférés.
En revanche, j’ai beaucoup aimé Abigail et Alanna qui m’a brisé le cœur dans le dernier épisode. La première est un personnage intéressant et ce, dès le début. Dès le premier épisode, je me suis beaucoup attachée à elle et j’attendais avec impatience chacune de ses apparitions. J’avoue ne pas avoir été spécialement étonnée par la révélation qui a été faite sur elle dans les derniers épisodes. Elle n’a fait que confirmer mes soupçons.
Esthétiquement, il n’y a rien à redire. C’est terriblement beau, visuellement, notamment en ce qui concernent les plats préparés par Hannibal. Que dire des scènes de crimes ! Leur esthétisme est incroyable, à la fois terrifiante et fascinante. Il y a des épisodes qui sont vraiment durs à voir.
Parfois, certains sont un peu plus ennuyeux que d’autres ou, au final, on ne comprend pas toujours les agissements et les comportements de certains personnages. J’ai plutôt été déçue par le dernier épisode de la saison. Les trois derniers étaient vraiment très bons et le trailer de ce dernier épisode semblait très prometteur mais, au final, il est juste très frustrant et en dessous de ce que j’espérais.
Je suis tout de même curieuse de voir ce que donnera la deuxième saison puisque la nouvelle est tombée il y a quelque temps qu’Hannibal était renouvelé. Cette première saison vaut véritablement le détour car elle sort du lot. Quelques petites choses m’ont dérangé mais, globalement, c’est que du positif.