
Ils sont sept. Les meilleurs dans leur domaine respectif : maniement d'explosifs, charisme, assassinat, braquage, séduction... Ils n'ont, a priori, rien en commun mais vont devoir mettre de côté leurs rivalités et s'associer pour une mission secrète insolite. En cas de succès, ils pourraient devenir les sauveurs de l'humanité tout entière. En cas d'échec : la mort ou pire encore. L'enjeu ? Réussir le casse du continuum.
Les étoiles brillaient avec force. Elles étaient jaunes et roses,
bleues, étincelantes contre le noir de l'espace. Des
diamants taillés sur un velour de bijoutier.
Partenariat
Un grand merci aux éditions Folio. Je ne lis que très rarement voire jamais de la science-fiction. Ce n’est pas du tout mon genre littéraire de prédilection et je fus la première à être étonnée d’avoir autant apprécié ce roman. En effet, j’ai vraiment passé un très bon moment avec.
Le casse du siècle
L’auteur, Léo Henry, s’inspire énormément de deux films que j’aime beaucoup. Il y a tout d’abord Ocean’s Eleven avec tout le côté réussir le casse du siècle, sans se faire prendre. Enfin, la plus grande part d’inspiration concerne Inception, le fameux film de Christopher Nolan avec Leonardo DiCaprio. En effet, il est question de pénétrer dans les rêves. Au final, cela nous donne un roman vraiment prenant.
Pour des novices en matière de science-fiction, Le casse du continuum est le roman parfait. En effet, l’univers n’est pas trop compliqué. Il n’y a pas trop de gadgets futuristes et l’auteur explique relativement bien le monde qu’il met en place et les enjeux du casse. Le fait d’avoir divisé le roman en trois parties avec la présentation des membres de l’équipe, puis celle où ils planifient d’entrer dans les rêves du Noun et, enfin le casse lui-même. C’est vraiment une histoire prenante avec un style très imagé qui donne le sentiment de voir les scènes se dérouler sous nos yeux comme au cinéma.
Cependant, j’ai trouvé que certains passages auraient mérité d’être un peu plus développés, d’avoir quelques précisions. A quelques moments, Léo Henry passe trop vite sur certains aspects. Parfois, quelques explications supplémentaires auraient été les bienvenues, surtout vers la fin. Nous ne savons pas vraiment ce que les casseurs ont demandé en récompense. Par ailleurs, on a du mal à pleinement s’attacher aux différents personnages. Ils sont nombreux et nous n’apprenons pas vraiment à les connaître.
Pour des novices en matière de science-fiction, Le casse du continuum est le roman parfait. En effet, l’univers n’est pas trop compliqué. Il n’y a pas trop de gadgets futuristes et l’auteur explique relativement bien le monde qu’il met en place et les enjeux du casse. Le fait d’avoir divisé le roman en trois parties avec la présentation des membres de l’équipe, puis celle où ils planifient d’entrer dans les rêves du Noun et, enfin le casse lui-même. C’est vraiment une histoire prenante avec un style très imagé qui donne le sentiment de voir les scènes se dérouler sous nos yeux comme au cinéma.
Cependant, j’ai trouvé que certains passages auraient mérité d’être un peu plus développés, d’avoir quelques précisions. A quelques moments, Léo Henry passe trop vite sur certains aspects. Parfois, quelques explications supplémentaires auraient été les bienvenues, surtout vers la fin. Nous ne savons pas vraiment ce que les casseurs ont demandé en récompense. Par ailleurs, on a du mal à pleinement s’attacher aux différents personnages. Ils sont nombreux et nous n’apprenons pas vraiment à les connaître.
Le mot de la fin
Voilà un roman qui m’a bien plu, malgré quelques défauts. Pour une première immersion dans le monde de la science-fiction, je ne suis pas déçue du voyage et j’ai même envie de découvrir un peu plus ce genre littéraire. Il faut que je trouve juste le bon ouvrage pour continuer.