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Le cercle celtique de Björn Larsson

3/10/2014

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Un voilier vogue au large de l'Écosse. Bravant les rigueurs de la mer du Nord en plein hiver, ses deux passagers se dirigent vers des périls sans nom. Car plus effrayants que la nature déchaînée sont les dangers dont les hommes les menacent. Poursuivis sur les mers par des inconnus, volés, espionnés, ils n'en sont pas moins déterminés à découvrir la clef de la malédiction qui pèse sur MacDuff et Mary, amoureux en fuite. A découvrir surtout le secret du Cercle celtique, avec ses mystérieux rites meurtriers. De pays en pays, de tempête en bourrasque, de surprise en révélation, les deux aventuriers de la mer vont accomplir un étonnant voyage et mettre au jour quelques sinistres vérités...

Pas d'extrait

Partenariat

Un grand merci à Livraddict et aux éditions Folio pour ce roman. « Cercle celtique », « polar nordique »… Je me lance !

Des aspects intéressants

Il y a un certain nombre d’aspects dans Le cercle celtique qui m’ont vraiment plu. Tout d’abord, il y a tout le côté légendes celtiques, druides qui m’a charmé. J’adore cette thématique et il est plutôt rare de trouver des romans qui parlent de ce genre de choses. Après avoir lu et découvert le journal de bord de Pekka, en même temps que le narrateur, j’avais vraiment hâte d’en savoir plus sur le sujet, comment l’auteur va le développer…

Ensuite, j’ai sincèrement apprécié le style de l’auteur. En effet, j’ai vraiment trouvé magnifique sa manière de décrire la mer, sous tous les temps, de toutes les couleurs. Elle est presque un personnage à part entière du roman car, parfois, il y a une personnification de cette dernière soit comme un être terrible dont il faut se méfier soit comme une protection. Il y a une certaine poésie qui se dégage du livre, une invitation à la contemplation. Le cercle celtique est extrêmement bien écrit, on ne peut pas le dénier. J’ai presque même eu envie de m’embarquer à bord du Rustica avec le narrateur pour partir à l’aventure. Björn Larsson a même réussi à me faire apprécier les passages où il parle de navigation alors que je ne m’y connais absolument pas.

Un roman qui fait comme les vagues

En effet, parfois, nous sommes en haut de la vague et là, le livre est juste captivant. Le suspense est à son comble, les pages se tournent toutes seules et avec facilité. Je voulais en savoir toujours plus. Cependant, quelques pages après, le lecteur se trouve dans le creux de la vague, où l’intrigue piétine. J’avais l’impression que plus rien n’avançait. C’était long et lent. Je dois bien avouer que je me suis même ennuyée pendant ces passages. Dans ces moments, j’avais vraiment du mal à m’y remettre.

Or, le roman est construit ainsi. Il enchaîne entre des passages où la tension est à son comble et où j’ai été littéralement happée par l’intrigue et d’autres où je m’ennuyais, voulant désespérément passer à autre chose. Et c’est finalement ce que j’ai fait.

Le mot de la fin

Je n’ai pas été totalement convaincu par ce roman. Il y avait des points qui étaient pas mal mais ce dernier souffre de trop nombreuses longueurs qui fait que l’intrigue s’essouffle et a du mal à redémarrer.   
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Les Chroniques de Dani Mega O'Malley, Iced de Karen Marie Moning

2/5/2014

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"J'ai découvert un truc complètement dingue : mourir, c'est de la rigolade. Ce qui craint un max, c'est de revenir à la vie...

Mon nom est Dani Mega O'Malley. Mon chez-moi, ce sont les rues de Dublin. La ville est une zone de guerre, les faës sont libres de nous chasser, il n'y a pas deux jours semblables et sans Mac, rien n'est plus pareil. Pourtant, je ne préférerais vivre nulle part ailleurs."

Les règles que vos parents vous ont enseignées n'ont plus cours. Ayez peur du noir. Et si vous avez l'impression qu'un monstre est tapi sous votre lit ou dans votre armoire, c'est probablement vrai. Allez donc vérifier.

Un premier tome très attendu

Depuis que j’ai refermé le dernier et tellement incroyable tome des Chroniques de MacKayla Lane et depuis l’annonce de ce nouveau spin-off, je ne voulais qu’une chose, le lire au plus vite, retrouver cet univers que j’avais adoré mais surtout suivre les aventures de Dani. 

Dani et ses amis

Quel plaisir de retrouver cette gamine survoltée ! Elle m’avait presque manqué. En tout cas, elle est toujours égale à elle-même, vivant à cent à l’heure et n’aimant pas les limites. Elle se pose aussi des questions sur son rôle dans Dublin mais sur sa future sexualité essentiellement ! Personnellement, je l’adore. Elle a un sacré caractère et un sens de l’humour incomparable. Nous en apprenons également un peu plus sur elle, sur son enfance, sur la manière dont Rowena l’a utilisé, sur ce qu’elle ressent depuis que Mac a découvert son secret… Il y a juste un petit truc qui m’énerve, c’est sa manie de ponctuer toutes ses phrases par « man ! ». C’est un peu too much à la longue. Mais c’est le seul reproche que j’ai à formuler concernant le livre.  

Ryodan a commencé à apparaître de plus en plus souvent dans les derniers tomes des Chroniques de MacKayla Lane et il semblait plutôt être le bras droit de Barrons. Or, dans ce spin-off, il ne semble plus autant affilié à ce dernier. Par ailleurs, entre les deux, mon cœur a définitivement fait son choix. Ryodan l’emporte haut la main et définitivement. J’ai totalement adoré ce personnage. Je suis irrémédiablement tombée sous son charme très viril et un peu brut. J’ai aimé son comportement envers Dani, toujours en train de râler mais protecteur, chacune de ses interventions, ses petits piques…  

J’ai également apprécié les deux autres personnages masculins : Christian et Dancer. Ils sont, bien sûr, attachants tous les deux mais, parfois, le highlander est un peu flippant. Cependant, il faut les prendre ensemble, avec Ryodan, pour les adorer encore plus. Considérant qu’ils tiennent tous les trois à Dani, quand ils se trouvent ensemble, le moins que l’on puisse dire, c’est que c’est plutôt explosif. Certaines scènes sont juste incroyables, hallucinantes et à mourir de rire. Dancer ne se laisse absolument pas impressionner par les deux autres quand bien même ils sont dix fois plus dangereux que lui. Par exemple, quand il a traité Ryodan de « roi des cons », j’ai cru que c’en était fini de lui ! Mais non ! Je suis encore plus impatiente de les retrouver. 

L'intrigue

Nous reprenons presque là où l’auteur nous a laissé. La Chute des Murs était un événement incroyable puisque, finalement, la première série ne se terminait pas sur une fin heureuse, comme bien souvent. Je suis ravie de savoir ce qui se passe ensuite, comment les gens survivent… Dani se voit confier une enquête par Ryodan : savoir pourquoi certaines scènes sont congelées. Les réponses arrivent surtout à la fin. Entre temps, nous avons un enchaînement de scènes dont la caractéristique principale est d’être bourrées d’humour. Il y a également beaucoup d’actions. Aussi non, concernant la révélation de quelques secrets, il n’y en a pas énormément. Il n’y a pas grand-chose de ce côté-ci mais, en même temps, ce n’est que le premier tome et la suite risque d’être épique. 

Par ailleurs, Karen Marie Moning sais vraiment comment accrocher son lecteur, le captiver au point qu’il ne peut plus lâcher le livre et que toutes ses pensées sont tournées uniquement vers Dani. En tout cas, ce fut mon cas pendant toute la durée de ma lecture et même après. Le suspense est toujours bien ménagé et au rendez-vous, à tel point qu’on ne s’ennuie jamais et que les pages se tournent toutes seules et à une allure folle. Je voulais toujours savoir, aller plus loin. C’est typiquement le genre de romans qui te font passer une courte nuit car tu te dis « encore un chapitre et j’arrête » mais, à trois heures du matin, tu es encore en train de le lire.  

Cependant, ce sont surtout les dernières pages qui sont toujours les plus terribles. L’auteur manie avec brio l’art du cliffhanger qui donne envie de se précipiter sur le prochain tome lors de sa sortie. J’avais déjà pu l’expérimenter dans son autre série. Iced se clôture sur une scène que j’attendais avec impatience mais, tout comme Dani d’ailleurs, je redoutais. L’attente pour le deuxième tome va être absolument terrible.

Par ailleurs, le roman n’est pas uniquement bourré d’actions et de rebondissements. C’est surtout un tome qui aligne les scènes les plus épiques de toute la série (je compte les Chroniques de MacKayla Lane dedans). Qu’est-ce que j’ai pu rire parfois ! Certains passages sont absolument incroyables. Il y a, par exemple, le moment où Barrons et Ryodan son en train d’agoniser à cause de Dani. Le premier se retourne vers son ancien homme de main et lui déclare qu’il va tuer la gamine alors qu’ils baignent dans leurs sangs. Mais, la meilleure scène du livre reste tout de même une des dernières scènes où les principaux acteurs de l’intrigue se disputent pour savoir qui aura le privilège de choisir la musique pour attraper le grand méchant. Tout est tellement surréaliste dans cette conversation, incongru. Cependant, c’est juste un régal à lire.
« - Tu as Adele ? demande Jo d’un ton plein d’espoir.
- Pas une seule chanson, répondis-je joyeusement. Par contre, j’ai du Nicky Minaj.
- Qu’on me tue tout de suite, gémit Ryodan en fermant les yeux. »
Je me suis vraiment amusée et les réactions ou les relations entre les personnages sont également supers. Mention spéciale pour Lor !

Conclusion

Un livre que j’ai adoré de bout en bout. C’est un coup de cœur énorme et il me tarde d’avoir le deuxième tome entre les mains. Si vous avez adoré Mac, vous ne pouvez qu’adorer Dani. A mon avis, elle est encore mieux. 

Chroniques des autres tomes : 

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Ce regard en arrière de Nuala O'Faolain

1/13/2014

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Nuala O'Faolain ne baisse jamais la voix. A travers ses chroniques publiées entre 1980 et 2008, elle pose un regard extralucide sur les mécanismes intimes du pouvoir et de l'impuissance : en examinant la société irlandaise, l'omniprésence de l'Eglise, la vieillesse ou la condition des femmes, elle s'affirme en témoin de son temps et conscience universelle. 

Les élections sont autant d'occasions pour une société 
d'exprimer ses préoccupation et de donner une forme intelligible à ses désirs.
Mais tout ce que nous a appris la dernière, c'est que même si nous avons l'air
aujourd'hui d'un pays riche, moderne, bien éduqué, sous l'apparence nous sommes encore trop craintifs et provinciaux pour simplement penser à donner.
Tout ce que nous voulons, c'est prendre.

Partenariat

Je tenais à remercier les éditions 10/18 pour cet ouvrage. Il y a longtemps que je voulais découvrir Nuala O’Faolain, auteur et journaliste irlandaise reconnue. Ce fut donc l’occasion parfaite de la lire et d’en apprendre plus sur l’Irlande, pays qui me fait rêver.

Un recueil d'articles publiés

Ils vont de 1980 à 2008 et ils sont toujours en relation avec l’actualité du moment. Certains m’ont paru un peu obscurs car je n’avais aucune connaissance des événements qui étaient relatés. Pour certains, je n’étais même pas encore née. Pour d’autres, ils ne font pas forcément partie de l’histoire avec un grand H mais de ce que j’appelle la petite histoire. Je suis donc passée un peu à côté de ceux-là. Mais, ce ne fut pas forcément le cas pour la majorité.

En effet, une très grande part des chroniques présentées étaient relatives à des sujets qui m’intéressaient beaucoup plus. Ils avaient plus souvent trait à des thèmes autour de la société avec des questions de religion, de pauvreté. Nuala O’Faolain prenait l’exemple de la société irlandaise. J’y ai largement trouvé mon compte avec cet aspect de l’ouvrage, d’autant plus que je me passionne pour tout ce qui touche l’Irlande. Il est donc naturel que ce point m’ait passionnée.

Le style de l'auteur

Nous ne trouvons plus beaucoup de telles chroniques dans la presse, aujourd’hui. Je ne dirais pas qu’il a un côté désuet dans cette manière d’écrire et de construire ses articles mais presque. Pour autant, il m’a sincèrement plu. Il y a parfois un peu de piquant dans ces textes, de l’ironie… Toutefois, c’est surtout dans la façon dont l’auteur veut nous faire réfléchir. Elle pose énormément de questions dont certaines ne trouvent pas de réponses car c’est au lecteur de les trouver, d’y réfléchir. A la lecture de Ce regard en arrière, même si les articles étaient vieux de plusieurs années, j’avais l’impression de faire une lecture active, de prendre pleinement part à ces derniers.

Le mot de la fin

C’est un recueil qui m’a bien plu mais qui n’est pas à recommander à tous. Il peut se révéler vite indigeste pour ceux qui n’aiment pas les écrits journalistiques. J’y ai, pour ma part, trouver mon compte. Cependant, j’avoue que je ne l’ai pas lu d’une traite. Une ou deux chroniques par jour, seulement.
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3 femmes et un fantôme de Roddy Doyle

10/7/2013

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"Tout était silencieux. Scarlett conduisait. Mary regardait par la fenêtre. Sa grand-mère dormait ; elle savait que ce voyage était quelque chose d’unique. Quatre générations de femmes – je suis une femme, se disait Mary – sur la route pour une virée en voiture. L’une morte, l’une prête à mourir, l’une au volant et la dernière pour qui tout ne faisait encore que commencer."

Mary ne se posait pas de questions sur le passé de sa famille. Mais quand le fantôme de son arrière grand-mère vient lui taper l’épaule, c’est l’occasion pour la jeune fille de découvrir ses racines.

Elle détestait l'hôpital. Elle détestait la longue marche pour le traverser. Elle y détestait absolument tout. 
Sauf une chose. Sa grand-mère. Elle détestait l'hôpital mais elle adorait sa grand-mère.

Partenariat

Je tenais à remercier les éditions Flammarion Jeunesse pour cette lecture. Roddy Doyle est un auteur irlandais qui est loin de m’être inconnu. Je le connais beaucoup plus pour ses romans écrits pour un public plus adulte comme sa trilogie sur une famille irlandaise de la classe moyenne voire pauvre. J’ai également vu certaines des adaptations cinématographiques qui en ont été faites. Il me reste encore des titres à découvrir et dont celui-ci qui est plus tourné vers un public jeune, adolescent.

Un magnifique roman sur la vie et la mort

Roddy Doyle a souvent écrit des romans sur la société irlandaise dans la totalité de ses aspects : la misère, les jeunes femmes qui tombent enceintes tellement facilement car la contraception semble être une idée lointaine, le départ d’un père, une femme battue… Je crois que c’est la première fois qu’il parle à ses lecteurs de la mort. Cependant, il a toujours aimé la confrontation des générations, thème que l’on retrouve dans 3 femmes et un fantôme.

Quatre générations de femmes se retrouvent, dans un moment qui semble suspendu à jamais, alors que l’une d’entre elles va bientôt mourir. Pour l’accompagner, elle est entourée de sa mère, un fantôme, de sa fille et de sa petite fille. Même si j’ai pleuré à chaudes larmes dans les dernières pages, c’est un roman qui est plein d’espoir, qui délivre un message que j’ai trouvé, finalement, très positif. La grand-mère semble entourer des siens, d’amour et puis, elle a vécu une sacrée aventure.

Finalement, avec ce très beau roman de Roddy Doyle, le lecteur passe par tous les sentiments. Nous riions de voir les personnes s’amuser follement, repousser la mort en vivant encore vite et fort, nous pleurons, nous espérons un autre dénouement. C’est vraiment très bien écrit et l’auteur utilise de belles images pour décrire la mort comme le bruissement des feuilles dans le vent qui serait le murmure des morts pour les vivants.

L'écriture et l'histoire

L’intrigue est celle d’une vieille femme qui est en train de mourir dont la mère, décédée alors qu’elle n’avait que trois ans, revient la voir sous forme de fantôme, la fille et la petite-fille viennent l’entourer pour ses derniers instants. Elles décident de l’emmener faire un tour dans la maison où elle est née et a vécu. En la résumant ainsi, on a l’impression que l’histoire est des plus classiques, universelles. Pourtant, tout fonctionne parfaitement et je me suis vite prise au jeu.

Il faut avouer que 3 femmes et un fantôme est porté par un quatuor de femmes au caractère bien affirmé pour ne pas dire au caractère bien trempé. J’ai aimé l’insolence de la petite Mary, les caractères un peu fantasques des trois femmes plus vieilles qui semblent rajeunir d’un coup par la nouvelle aventure qui se profile. Il est impossible de ne pas s’attacher à chacune d’entre elles et à les adorer. J’ai aimé la manière dont l’auteur les a fait parler, essayant de garder les particularités de chacune d’entre elles, en respectant leurs caractères, leurs petites manies du langage. De surcroît, qu’il change, parfois, de personnages narrateurs, qu’il évoque les souvenirs autant de Mary, Scarlett, Emer ou Tansey, en coupant la narration ne m’a absolument pas dérangé. Bien au contraire, je me suis encore plus attachée à elles.

La touche de fantastique avec la présence du fantôme est loin d’être déplaisante. Elle apporte un véritable plus à l’intrigue. Je ne dirai pas une certaine originalité car, finalement, c’est tout de même assez récurrent de voir le fantôme d’un proche apparaître quand une personne va bientôt mourir, en littérature, mais presque. Cette présence n’était pas en trop et elle apportait véritablement quelque chose à l’intrigue, d’autant plus que Tansey est toute rigolote avec sa manière de parler…

Conclusion

3 femmes et un fantôme est, sans conteste, un immense coup de cœur et j’apprécie encore plus cet auteur que je vous invite à découvrir le plus vite possible, que ce soit à travers ce roman qui pourra également parler aux adultes par sa manière d’aborder la mort, la vie, les générations, la famille que pour les jeunes adolescents qui vivront, à un moment donné, cette même expérience. Pour ma part, je suis loin d’être déçue par cette lecture et elle me rappelle qu’il faut absolument que je continue à lire Roddy Doyle.
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