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Au bois dormant de Christine Féret-Fleury

6/11/2014

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On l'appelle le Rouet. En référence au "rouet" sur la pointe duquel la Belle au Bois Dormant se pique le doigt dans le conte de Perrault. Car le Rouet est un tueur en série, un criminel qui traque ses victimes dès leur naissance, promettant à leurs parents qu'il leur dérobera la vie le jour de leur seizième anniversaire.

Ariane aura seize ans dans quelques mois. Elle décide de s'enfuir plutôt que d'attendre cette mort annoncée. En chemin, elle rencontre Lara, une jeune fille qui lui ressemble comme une soeur. Mais un terrible accident emporte Lara. Elle aurait eu ses seize ans quelques jours plus tard. Dans la précipitation des événements, on confond Ariane et Lara. Et si changer d'identité était la solution pour échapper au tueur ? Ariane décide de se faire passer pour la défunte et continue sa fuite. Mais le tueur est bien plus proche qu'elle ne le croit...

Je la regarde.
Vous ne me voyez pas, mais je suis là.
Jusqu'à l'âge de seize ans, elle grandira en beauté,
en force, en intelligence.
Je la protégerai de tout mal.
Le jour de son seizième anniversaire,
avant que le soleil ne bascule derrière l'horizon,
je m'approcherai.
Je vous repousserai dans les ténèbres.
Elle sera à moi.

Partenariat

Un grand merci aux éditions Hachette Romans Jeunesse pour ce nouvel envoi. J’adore les réécritures de contes et c’est la première fois que je lis une nouvelle écriture de La Belle au bois dormant, ayant plus l’habitude de Blanche-Neige ou du Petit Chaperon Rouge. Je connaissais déjà l’auteur pour avoir lu et adoré La trace.

Une réécriture intéressante

En commençant ce roman, je m’attendais à ce qu’il soit orienté vers un registre fantastique. Or, ce n’est pas du tout le cas. Christine Féret-Fleury nous livre ici un thriller plutôt brillant. En effet, j’ai véritablement apprécié le fait que l’auteur s’approprie totalement le conte de La Belle au bois dormant pour proposer une histoire très originale. Pour moi, ce roman est une grande réussite. Je n’arrive pas à lui trouver le moindre défaut.

Concernant l’utilisation du conte pour construire un thriller psychologique, l’auteur n’a réalisé aucun faux pas. Par exemple, le rouet n’est plus un simple objet causant la chute d’Aurore mais un tueur en série qui s’inspire du conte pour tuer des jeunes filles le jour de leurs seize ans mais également en ce qui concerne la mise en scène des meurtres. La première victime s’appelle Aurore. Retrouver ainsi des éléments du conte mais exploiter de manière résolument différente est très intéressant.

Du point de vue psychologique, l’auteur a, à mon avis, fait un travail incroyable de ce côté. En effet, même le lecteur peut ressentir toute la tension qui règne dans le livre, qui habite dans Ariane alors qu’elle va bientôt avoir seize ans. Nous savons qu’il va se passer quelque chose mais nous ignorons où et quand. Alors, nous sommes dans l’attente, tout comme pour le personnage principal, Ariane. Nous comprenons parfaitement ses réactions car l’auteur réussit à nous les faire ressentir également.

Impossible de le lâcher une fois commencé

J’ai dû le commencer vers vingt-trois heures pour tenter de m’endormir malgré la chaleur ambiante. A trois heures du matin, il était entièrement lu et j’en restais encore bouche bée. Il y a bien longtemps que je n’avais pas lu un roman d’une traite. Pourtant, dès les premières pages, j’ai été littéralement hypnotisée par l’intrigue. Il fallait absolument que je connaisse le mot de la fin, la raison des meurtres, le lien qui unit les différentes victimes entre elles...

Le tout est parfaitement maîtrisé. Il n’y a aucun moment de flottement, tout s’enchaîne à une allure folle. Christine Féret-Fleury donne les éléments de réponses au bon moment et le suspense est véritablement préservé tout au long du roman. En effet, la fin est vraiment surprenante et inattendue. Je ne m’attendais pas à une telle explication et j’avoue que j’ai été énormément étonnée et bouleversée par ce final. Elle a quelque chose de cruel, d’horrible et d’inhumain.

Pour finir

Au bois dormant fut une vraie surprise. Je ne m’attendais pas à être autant happée par l’histoire d’Ariane. C’est un coup de cœur que je n’attendais pas mais le roman est vraiment étonnant. A lire si l’occasion se présente.
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Le cercle celtique de Björn Larsson

3/10/2014

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Un voilier vogue au large de l'Écosse. Bravant les rigueurs de la mer du Nord en plein hiver, ses deux passagers se dirigent vers des périls sans nom. Car plus effrayants que la nature déchaînée sont les dangers dont les hommes les menacent. Poursuivis sur les mers par des inconnus, volés, espionnés, ils n'en sont pas moins déterminés à découvrir la clef de la malédiction qui pèse sur MacDuff et Mary, amoureux en fuite. A découvrir surtout le secret du Cercle celtique, avec ses mystérieux rites meurtriers. De pays en pays, de tempête en bourrasque, de surprise en révélation, les deux aventuriers de la mer vont accomplir un étonnant voyage et mettre au jour quelques sinistres vérités...

Pas d'extrait

Partenariat

Un grand merci à Livraddict et aux éditions Folio pour ce roman. « Cercle celtique », « polar nordique »… Je me lance !

Des aspects intéressants

Il y a un certain nombre d’aspects dans Le cercle celtique qui m’ont vraiment plu. Tout d’abord, il y a tout le côté légendes celtiques, druides qui m’a charmé. J’adore cette thématique et il est plutôt rare de trouver des romans qui parlent de ce genre de choses. Après avoir lu et découvert le journal de bord de Pekka, en même temps que le narrateur, j’avais vraiment hâte d’en savoir plus sur le sujet, comment l’auteur va le développer…

Ensuite, j’ai sincèrement apprécié le style de l’auteur. En effet, j’ai vraiment trouvé magnifique sa manière de décrire la mer, sous tous les temps, de toutes les couleurs. Elle est presque un personnage à part entière du roman car, parfois, il y a une personnification de cette dernière soit comme un être terrible dont il faut se méfier soit comme une protection. Il y a une certaine poésie qui se dégage du livre, une invitation à la contemplation. Le cercle celtique est extrêmement bien écrit, on ne peut pas le dénier. J’ai presque même eu envie de m’embarquer à bord du Rustica avec le narrateur pour partir à l’aventure. Björn Larsson a même réussi à me faire apprécier les passages où il parle de navigation alors que je ne m’y connais absolument pas.

Un roman qui fait comme les vagues

En effet, parfois, nous sommes en haut de la vague et là, le livre est juste captivant. Le suspense est à son comble, les pages se tournent toutes seules et avec facilité. Je voulais en savoir toujours plus. Cependant, quelques pages après, le lecteur se trouve dans le creux de la vague, où l’intrigue piétine. J’avais l’impression que plus rien n’avançait. C’était long et lent. Je dois bien avouer que je me suis même ennuyée pendant ces passages. Dans ces moments, j’avais vraiment du mal à m’y remettre.

Or, le roman est construit ainsi. Il enchaîne entre des passages où la tension est à son comble et où j’ai été littéralement happée par l’intrigue et d’autres où je m’ennuyais, voulant désespérément passer à autre chose. Et c’est finalement ce que j’ai fait.

Le mot de la fin

Je n’ai pas été totalement convaincu par ce roman. Il y avait des points qui étaient pas mal mais ce dernier souffre de trop nombreuses longueurs qui fait que l’intrigue s’essouffle et a du mal à redémarrer.   
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Les étrangers du temps, Destins obscurs de Corinne Gatel-Chol

12/10/2013

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Corinne Gatel-Chol nous livre, dans ce premier tome, l'histoire forte d'un amour impossible, contrarié avec même d'avoir existé. Elle nous emmène dans une aventure un peu sombre où passé et présent se confondent ; nous entraîne sur un chemin chaotique, semé de meurtres, de têtes coupées, de corps déchiquetés... Entre fiction et réalité. Ne vous fiez pas aux apparences, ce livre est un thriller et, tôt au tard, il vous fera frissonner. 

Comment avait-elle fait, en le connaissant si bien, pour ne rien voir ? Ne pas vouloir voir.

Une auteur qui mérite d'être plus connue

Il y a plusieurs mois maintenant, Corinne Gatel-Chol m’avait contacté pour découvrir son premier roman. Je pensais le lire assez rapidement mais, entre une chose et l’autre, je n’ai jamais vraiment eu le temps de me plonger dedans. Avec l’achat de ma liseuse au début du mois de Septembre ne me donnait plus aucune excuse et c’est le premier livre que je lis dessus.

Entre fantasme et réalité, policier et historique

Le premier aspect du roman que j’ai véritablement apprécié, c’est cet oscillation entre la réalité et le fantasme. L’auteur effleure le fantastique sans jamais pour autant tomber dedans. Tout au long de ma lecture, je me suis demandée s’il y a avait vraiment des fantômes ou s’il s’agissait seulement des hallucinations produites par l’esprit malade d’Hadrien. Ce point m’a fait penser au Horla de Maupassant. Ce mélange m’a beaucoup plu car il est étonnant et m’a beaucoup tenu en haleine. La suite semble vraiment prometteuse.

Corinne Gatel-Chol mélange encore deux genres littéraires : l’historique et le policier. Encore une fois, c’est un pari réussi. Le côté policier donne du rythme au récit que le côté historique n’aurait peut-être pas eu. Les deux m’ont autant régalé et se complètent parfaitement. Il y a beaucoup de mystères et quelques révélations qui donnent toujours envie de continuer afin d’en savoir plus. A la fin de ce premier tome, il y a encore un certain nombre de questions qui restent en suspens.

Pour autant, j’ai préféré le côté historique car, au final, c’est celui que j’ai trouvé le plus intéressant. L’époque évoquée est celle du XIX siècle. Elle est très bien retranscrite et les passages où l’auteur nous ramène vers le passé ont l’air réel. J’avais l’impression d’y être. J’ai tout particulièrement apprécié les extraits du journal intime de Colombe qui, pour ma part, rajoute un véritable plus à l’intrigue.

Malgré le fait que ce soit une bonne découverte, ce n'est pas un coup de cœur pour autant

En effet, il y a quelques éléments qui m’ont légèrement déçue. Il s’en fallait tout de même de peu pour que je le classe parmi mes coups de cœur. Cela ne veut pas dire que je ne conseille pas cette lecture, bien au contraire.

Premièrement, j’ai trouvé que certains passages étaient un peu longs. Pour le dire autrement, parfois, je me suis néanmoins ennuyée. Ce n’était pas non plus très souvent mais assez quand même pour que je m’en souvienne, même plus d’un mois après.

Deuxièmement, je n’ai pas du tout accroché au personnage d’Hadrien. J’ai eu beaucoup de mal à m’attacher à lui voire à ressentir de la sympathie pour lui, nonobstant les épreuves qu’il a dû traverser. Il m’a constamment énervé. Cependant, il faut souligner que c’est un personnage relativement bien construit. Il se comporte comme on peut l’attendre d’un véritable être humain. Il y a de la finesse dans les descriptions physiques, morales, psychologiques des personnages qui leur donnent un peu plus de réalisme. Je trouve ça presque dommage de ne pas m’être sentie proche de lui.

Chroniques des autres tomes : Celui qui est ; Passé composé

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Commissaire Antoine Marcas, In Nomine d'Eric Giacometti et Jacques Ravenne

12/9/2013

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XI siècle, Comté de Toulouse. Raoul de Presle conduit à la mort plusieurs centaines d'hérétiques. Hommes, femmes, enfants, tous s'élancent dans le bûcher sans la moindre peur...

XX siècle, Paris. L'inspecteur Marcas enquête sur son premier meurtre. Du milieu des collectionneurs de manuscrits ésotériques aux coulisses occultes de la franc-maçonnerie, tous veulent retrouver un secret perdu depuis le massacre des hérétiques. 

Une quête de sang qui va mener Marcas aux portes du Temple...

Pas d'extrait

Retour chez les franc-maçons

In nomine fait partie de la série du commissaire Antoine Marcas dont j’avais beaucoup le premier livre écrit,Le rituel de l’ombre. Ce n’est pas le premier roman écrit mais, si on suit l’ordre chronologique, ce serait la première aventure. En effet, elle relate un épisode important de la vie du policier-frère puisque c’est le récit de son initiation à la franc-maçonnerie.

Ma chronique sera sûrement très courte car cela fait un moment que j’ai lu ce roman et je ne m’en souviens que partiellement. Assez pour faire un billet mais pas forcément détaillé à l’extrême.

Une petite déception

Le livre est très court, je ne pensais pas qu’il le serait autant. Deux points méritent que je m’attarde dessus et je vais essayer de vous dire pourquoi ils m’ont déçu.

Premièrement, ma contrariété vient de l’enquête elle-même. Elle est très rapide car le livre fait un peu plus d’une centaine de pages. Finalement, elle est plus une excuse pour montrer comment Antoine Marcas a été introduit dans le monde de la franc-maçonnerie. Elle est très peu développée ce qui la rend peu intéressante à suivre. Je l’ai même trouvé un peu gâché. Si je me souviens bien, je crois que le nom du coupable n’est même pas donné.

Cependant, là où j’en attendais beaucoup, c’est concernant l’initiation du commissaire à la franc-maçonnerie. Il est vrai que dans la série, il n’en ai fait qu’allusions mais le lecteur ne sait jamais vraiment comment cela s’est fait. J’étais très curieuse de connaître ce point essentiel du personnage. Sur ce point, je suis aussi déçue. Ça se passe trop vite et ce n’est pas assez bien expliqué. En effet, il y a tout de même une sorte de complots derrière son introduction. Cela aurait été véritablement très intéressant et captivant que ce point soit développé.

Conclusion

Une petite déception, certes, mais j’ai toujours envie de connaître la suite. D’ailleurs, j’ai le deuxième/troisième opus dans ma bibliothèque qui n’attend plus que moi depuis un moment. Il s’agit de Conjuration Casanova. De plus, ce fut un plaisir de retrouver Antoine Marcas, personnage que j’apprécie beaucoup.

Chroniques des autres tomes : Le rituel de sang ; Conjuration Casanova ; Le frère de sang ; La croix des assassins ; Apocalypse ; Lux Tenebrae ; Le septième Templier ; Le temple noir

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